Dans cette partie, nous attendons à ce que vous parliez de la famille de votre personnage. Ses parents, si il a des frères et soeurs, des enfants illégitimes ou si il est un bâtard, bref, sa famille ! Attention cependant, si vous choisissez d'incarner un membre d'une maison banneret à une maison suzeraine, vous devez laisser la possibilité à d'autres membres de compléter la famille.

Nous attendons un minimum d'une dizaine de lignes.

Ma famille, au sens propre, se compose de six personnes. Il y a bien entendu mes deux parents, mes deux frères, une vieille tante malade et moi-même bien entendu. En réalité, je n'aurais pas dû être la seule fille mais ma petite sœur est morte à peine quelques mois après sa naissance. Voilà à peu près les liens que j'entretiens avec eux.

Sous ses airs stricts, mon père n'est pas un sans cœur, il tient à notre famille. S'il est avant tout posé, lisant des comtes afin qu'on poursuive la tradition, il n'hésite pas à se battre aux côtés des Lancaster. J'ai des sentiments assez contradictoire envers mon père. En réalité, je l'apprécie beaucoup pour tout ce qu'il nous a enseigné mais je ne supporte pas la dureté qu'il prend quelques fois. Quant à ma douce mère, je l'admire beaucoup, elle s'occupe de nous du mieux qu'elle le peut, entre mon père et mes frères, elle est devenue ma confidente. Je connais la douleur qu'elle a subit quand sa deuxième fille est morte. Une souffrance qu'elle ne raconte à personne, elle se veut forte mais personne ne tente de la comprendre. Ma chère mère, quand allez-vous sortir de votre tour d'ivoire ? Père n'attend que ça.

Pour continuer, je dirais que j'aime beaucoup mes frères, le premier me protège alors que le dernier tente chaque jour de me sortir de mes gonds. Mon ainé s'appelle Thaddeus, mon cadet se prénomme Lester. Vous l'avez compris, je détiens la place du milieu et je suis le canalisateur lors des disputes qui émergent entre eux. Ils sont en constante rivalité alors que père leur a dit d'être unis. Je tiens beaucoup à mes frères, autant l'un qu'à l'autre mais je dois avouer que je commence à ne plus supporter leurs innombrables chamailleries. Mais il parait que cela est commun entre frères. Des fois, j'imagine comment aurait été notre petite sœur, elle manque tellement à la famille, j'ai tant besoin d'elle mais je ne l'aurais jamais auprès de moi.

Au milieu de cette ambiance parfois quelque peu tendue, nous recueillons notre tante Deirdre de laquelle je tiens en effet mon second prénom. Elle est depuis peu malade mais elle a fait mon éducation. En effet, quand mes parents étaient occupés à séparer mes deux frères, elle venait me voir et m'expliquer de belles choses. Quelle douleur ce fut quand j'ai appris le mal qui la menaçait. Aujourd’hui, elle est entre la vie et la mort et ne sort pratiquement plus de son lit. Ses jours sont comptés et je déteste savoir ça.

Au sens large, la famille Beedle est très étendue et je ne compte plus le nombre de cousins que j'ai pu rencontrer le long de mon enfance.

.Chapitre un ⊰ L'ENFANCE

Cleia menait de puis sa naissance une vie simple. Ce jour-là, elle courrait dans les herbes hautes dans les jardins du château dans lequel elle vit. Elle fuyait sa gouvernante qui tentait tant bien que mal de lui apprendre les bonnes manières d'une noble. Elle aimait bien sa gouvernante mais cette fois, elle n'en pouvait plus. Elle connaissait très bien ces règles parfois ennuyeuses. Elle finit par arriver à l'endroit où ses frères se trouvaient. Ils se battaient avec des épées en bois. La fillette regarda les deux garçons avec attention. Elle croisa les bras et fronça les sourcils. Sous ses yeux, son ainé fit tomber son cadet. Ils se chamaillaient souvent Thaddeus et Lester, il n'y avait pas un jour où ils ne se disputaient pas. Entre eux, elle jouait un peu le rôle du canalisateur. Elle fit quelques pas vers eux, ils s'étaient relevés et maintenant, ils secouaient chacun leur épée avec fierté. « Plus tard, je serais chevalier et j'écrirais des histoires comme père. » S'exclamma Thaddeus en posant la pointe de sa fausse épée sur le sol. Elle releva la tête et parut sûr d'elle. « Et moi, j'irais les lire à la maison des Lancaster. » Rit Cleia en s'approchant davantage. Les Beedle étaient vassaux des Lancaster et on entendait que du bien de cette famille au château. Lester ne put ajouter quelque chose puisque la gouvernante arrivait totalement essoufflée et morte d’inquiétude. Elle se mit face à la petite fille brune et prit un air qui se voulait autoritaire. « Cleia, quand allez-vous tenir en place ? Il serait temps de penser que votre éducation passe avant tout. » S'exclamma t-elle en attrapant le poignet de la demoiselle avec douceur néanmoins. « Mais Irys... » Commença t-elle alors que la gouvernante secouait le doigt comme pour lui dire de se taire. « Suivez-moi donc, il y a une personne qui vous attend au salon. » Répliqua t-elle en souriant. Ce regard, Cleia le connaissait si bien et savait ce qu'il représentait. Ses lèvres s’agrandirent légèrement et elle accepta tout simplement de suivre la gouvernante.

Arrivant enfin au salon, elle resta totalement figée quand elle aperçut sa tante Deirdre. Était-ce un doux rêve ou la réalité ? Apparemment l'enfant n'avait pas compris sa gouvernante. Sa tante se retourna vers Cleia et l'observa en souriant. « Alors Cleia, oublierais-tu les règles de convenances ? » La fillette secoua la tête et accourut dans ses bras en disant quelques mots. « Tante Deirdre. » La femme serra fort sa nièce dans ses bras et se détacha d'elle à peine quelques secondes après. Elle prit une mèche brune bouclée de l'enfant et parut perplexe. « Comment avance ton éducation ? » « Mal. Je rêve de magie mais hier, j'ai encore vu mère pleurait... » Répondit-elle en reculant de quelques pas. « Oh. Je suis ici pour quelques mois afin de la soutenir et de parfaite ton éducation, ma douce Cleia. » Affirma la tante en s'asseyant. En réalité, la tante vivait mal son veuvage et son frère lui avait proposé de venir au château Beedle pour quelques temps. Néanmoins, cette simple phrase suffit à la petite Deirdre. Après tout comment une enfant pouvait comprendre de telles choses ? Cleia eut un sourire et s'installa aux côtés de Deirdre. « Je crois ma tante que votre présence fera beaucoup de bien à mère. »

.Chapitre deux ⊰ L'ADOLESCENCE

Cleia marchait aux côtés de sa mère dans les jardins du château. Lord Beedle était parti chez des amis avec ses deux fils et l'adolescente se retrouvait seule en compagnie des deux autres figures féminines de la famille. Le soleil brillait dans le ciel et la demoiselle finit par s'installer sur un banc en compagnie de sa mère. Cette dernière semblait vouloir lui dire quelque chose de très important. « Nous sommes aujourd'hui seule et je souhaite te raconter une histoire que tu as le droit d'entendre. » Cleia posa son regard sur la femme et leva un sourcil. «Laquelle mère ? Je vous écoute. » Fit-elle d'une voix suave. « Te souviens-tu de ce jour où tu m'as vu pleurer ? Quelques jours avant que la tante n'arrive ici. » Cleia hocha frénétiquement la tête, elle s'en rappelait clairement et jamais elle n'oublierait. Elle ne savait toujours pas pourquoi d'ailleurs, jamais on ne l'avait mis dans la confidence et aujourd'hui cette révélation approchait. « En réalité, je souffrais de la mort de celle qui aurait du être votre sœur. Je sais parfaitement que cela appartient aux aléas de la vie mais c'est ainsi. J'espère que tu me pardonnes ces moments-là Cleia. » Avoua t-elle à sa fille. La demoiselle, tout juste âgée de 15 ans, parut perplexe. Encore aujourd'hui, elle ne pensait pas que ce malheur puisse atteindre aussi facilement sa mère qui se montrait si forte, si douce, si aimable. « Comment vous en vouloir mère ? Je vous le demande. » « Je ne sais point ma fille. » Et le silence prit place.

La magie, au château Beedle, on en parlait beaucoup, énormément même et elle était parfois un des sujets principaux lors des repas. Assise autour de la table, aux côtés de sa tante, elle mangeait telle une souris, comme à son habitude. Alors qu'elle allait mettre un bout de viande dans sa bouche, Lord Beedle ouvrit la conversation sur l'éducation magique de Cleia. Elle ne bougea plus et leva les yeux de son assiette. Son regard balaya la pièce pour se poser sur son père.« Demain, Cleia, tu apprendras l'art des potions. Maitriser des sortilèges est une bonne chose mais il faut évoluer un peu à présent. » Affirma t-il de sa voix calme et autoritaire. La jeune femme fronça les sourcils et retint d'un soupir de soulagement. Enfin, elle allait étudier cet art dont sa mère lui parlait si souvent. « Ta tante Deirdre se fera un plaisir de t'expliquer cette matière dont tu ne connais rien aujourd’hui. Je suis certain que ce domaine te plaira. » Continua t-il sur un ton plus enthousiaste. Cleia tenait de lui, c'était évident. Elle attendit quelques instants mais aucun mot ne sortit de la bouche de quelqu'un d'autre. « Je suis impatiente d'en savoir plus sur cela. » Avoua t-elle en essayant de ne pas s'épancher davantage sur ce sujet-là. Les potions et l'équitation deviendraient ses matières de prédilection dans les mois à venir. Cette alternative plaisait beaucoup à l'adolescente qui avait soif de savoir, qui rêvait d'apprendre chaque un peu plus. « Comme les épées ne sont pas faites pour toi ma fille, je tenterais de t'inculquer la manière dont il faut tirer à l'arc. » Ajouta t-il et il ne prêta pas plus attention à Cleia qui ne s'en vexa pas. Au contraire, elle semblait si heureuse de voir que son père lui autorisait de telles expériences. Elle tourna la tête vers sa tante qui lui offrit un léger sourire.

.Chapitre trois ⊰ MAINTENANT

Cleia lisait un livre quand on lui annonça la nouvelle. Elle tourna la tête vers sa mère qui arrivait en trombe dans la pièce. Elle se mordilla la lèvre inférieure devant un tel vacarme. Que pouvait-il bien se passer d'aussi horrible ? « Une guerre est déclarée. » Avoua t-elle en tentant de récupérer son souffle. La demoiselle ferma son livre et posa. Elle se leva complétement perdue, les lèvres tremblantes, elle tenta de garder contenance. Comment ça ? « La rivalité entre Gryffindor et Slytherin ... » Dit-elle en répondant à sa question muette. Tout prenait son sens, Cleia ne perdit pas vraiment pied. Que pouvait-il bien arriver de pire qu'un tel combat ? Et dire que quelques jours après cette information, les Lancaster allaient s'allier aux Gryffindor mais cela s'avérait presque logique...

Félicitations Cleia Beedle ! Tu viens d'être validé par un membre de l'équipe administrative. Tu es désormais libre de parcourir et de poster sur tout le forum. Cependant, il reste encore quelques détails à régler. Tu peux déjà aller réserver ton avatar à cet endroit afin que les nouveaux membres et peut-être futurs membres ne s'inscrivent pas avec ce même avatar. De plus, l'avatar lui sera donc laissé puisque c'est le membre qui est en faute. N'oublie donc surtout pas de le recenser. Tout comme il est nécessaire de recenser ton avatar, il faut le faire aussi pour les différents registres du forum qui se trouvent à cet endroit (patronus, métiers, postes à poudlard, particularités magiques). Si tu as déjà une idée de scénario, important pour l'histoire de ton personnage, tu peux tout à fait aller l'élaborer ici. Respecte bien le modèle de scénario qui est obligatoire et mis en libre service tout en réservant l'avatar du scénario une fois terminé. Si tu dois t'absenter, n'hésite pas à prévenir l'équipe administrative. Sans absence, ton compte sera supprimé sans préavis et ton avatar sera donc libre. Quelqu'un pourrait alors le prendre et ce serait fortement embêtant pour toi. C'est par ici que ça se passe. Il est aussi important de consulter de temps en temps les annonces faites par l'équipe administrative, bien sûr tu seras prévenu par message privé mais il serait bien d'y aller tout de même volontairement. Avant de finir, tu peux évidemment aller faire ta fiche de lien et remplir ton journal intime, il suffit de cliquer ici et ici. Pour finir, n'hésite pas à aller flooder et parler avec les autres membres sur la chatbox