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 + le contexte (chapitre 1)

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The Founders

The FoundersPNJ
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MessageSujet: + le contexte (chapitre 1)   + le contexte (chapitre 1) EmptySam 19 Jan - 22:24



la trahison du serpent,
chapitre 1

résumé du contexte : Nous sommes en l'an de Grâce 217. L'école de sorcellerie Hogwarts a ouverte il y a déjà deux années et pourtant, de nombreux sorciers y viennent pour pouvoir apprendre les différentes disciplines de la magie. Néanmoins, un problème s'est formé, divisant les quatre fondateurs des lieux, Rowena Ravenclaw, Helga Hufflepuff, Salazar Slytherin et Godric Gryffindor. Le problème était le suivant, l'école devait-elle être acceptée pour tous ou uniquement les sorciers nobles, c'est-à-dire dont l'ascendance et le sang est pur ? Le choix divisait, mais Salazar, ne se sentant plus à sa place, décida de quitter les lieux pour retourner chez lui, aux Monts Brumeux. Ce que personne ne savait, c'est qu'il avait savamment orchestré son départ et la suite des évènements. Dans l'ombre, il proposa une alliance avec la maison Black, suzeraine de la Vallée aux Loups se caractérisant par les fiançailles de Ashara Slytherin, soeur cadette de Salazar à Ares Black, seigneur de la maison. Cette alliance frappa après avoir rassemblé les bannerets de leurs maisons conjointes par le siège et le sac de Port-Cassel, cité des Longbottom et vassaux des Gryffindor. L'assaut s'acheva sur l'assassinat de Jorah Gryffindor, père de Godric et Merwyn, présent dans la cité de la main de Salazar. Cette acte marqua le début d'une guerre entre les Gryffindor, leurs alliés les Lancaster contre les Black et les Slytherin. Salazar désirait plus que tout, reprendre Hogwarts et qu'importe le prix.

Ce n'était là, que le début d'un conflit auxquels tous les sorciers allaient être concernés.


1216 + La dame courrait rapidement à travers les couloirs. Son souffle était saccadé, mais elle ne pouvait pas s'arrêter, elle devait continuer. Elle grimpa rapidement les marches de la plus haute tour du château. Son amie l'attendait pour prendre le thé, discuter des nouveaux élèves qui étaient arrivés pour fuir les persécutions présentes. Les moldus avaient signé la Magna Carta une année auparavant et malgré cette charte, limitant les pouvoirs du roi, ils n'étaient pas prêt encore pour admettre que la magie existait. Ainsi, nombreux étaient les sorciers qui découvraient leur don et venaient ici, recevoir un apprentissage intensif, mais de qualité. Néanmoins, les tourments de quelques sorciers étaient tout autre, à cet instant. La femme susurra un mot pour laisser le passage entre le mur apparaître et pénétrer dans une vaste pièce circulaire aux tapisseries bleues marines avec un imposant buste représentant un aigle avec un diadème aux éclats saphirs sur sa tête.« Il est partit ! Helga ! Il est partit ! Il a fait seller tôt son cheval ! » annonça Rowena avant de voir Helga, silencieuse. Celle-ci était assise sur un épais fauteuil, près de la fenêtre, une lettre à la main. Elle posa son regard sur son amie, les yeux embuées de larmes. Elle l'avait perdu.

Le soleil se levait à l'est et éclairait le visage sombre de Salazar. Ce-dernier chevauchait depuis peu, s'éloignant du château. Hogwarts devenait de plus en plus petit au loin. Le sorcier ne pouvait nier ne pas ressentir une certaine émotion à son départ. Un pincement au coeur. Mais il ne pouvait pas faire demi-tour, pas maintenant. Il avait réfléchi à tout,dans les moindres détail, jusqu'à sa chambre secrète. Galopant contre le vent, la silhouette massive d'un autre sorcier apparue à Salazar qui ne s'arrêta pas. Il ne voulait pas parler, certainement pas à lui. « Cesse cette idiotie et arrête-toi, Salazar ! » s'écria le sorcier en galopant un étalon blanc à ses côtés. « Retourne au château, Godric. » Le dénommé Godric jura et s'approcha de la monture de son acolyte pour saisir les rênes et faire cambrer le cheval, le forçant à s'arrêter. « Par Merlin, vas-tu m'écouter !? » Salazar plissa les yeux et reprit les rênes d'un geste sec. « Que me veux-tu ? » demanda le sorcier, les lèvres pincées « Savoir pourquoi tu nous quittes. C'était notre rêve, non ? Une école pour les sorciers, pour qu'ils puissent apprendre la magie en toute sécurité ? » « J'ai peut-être le même rêve que vous, mais pas les mêmes attentes. Nos idées sont trop éloignées... Je préfère partir pendant que je le peux. » admit Salazar en jetant un coup d'oeil vers le château et la tour de Rowena. Helga devait avoir trouvé son parchemin. « Je ne ferai rien pour t'arrêter, mon ami. C'est ton choix, mais tout ce que tu as apporté à notre institution sera sauvegardé. Cependant, j'aurai une question. Et Helga ? » Salazar jeta un vif coup d'oeil à Godric. Celui-ci était silencieux, pensif à travers sa barbe. Salazar lui, esquissait un faux sourire. Comment le lion pouvait savoir pour Helga et lui ? Peu importe. Il redressa le visage et contourna la monture du sorcier. « Elle s'en remettra. Adieu, Godric. » lança l'homme en donnant un coup de talon pour faire repartir le cheval. Godric ne voyait déjà plus Salazar à l'horizon. Il laissa échapper un soupire avant de reprendre la route vers le château. « Adieu mon ami. »

1217 + Le sorcier remettait la cape sur son visage. Il ne voulait pas être reconnu dans les ruelles de la grande cité qu'était Londres, du moins, pas avant d'arriver à sa destination. Le sol était boueux et l'odeur environnante, nauséeuse. Godric regrettait de ne plus avoir son couvre-chef sur le crâne. Il avait ensorcelé celui-ci pour en faire le Choixpeau afin de pouvoir répartir les élèves. L'absence de Salazar hantait les pensées de l'homme. Cela faisait bien onze mois qu'il avait quitté le château. Godric soupira avant de s'arrêter devant une enseigne avec un chaudron débordant. La taverne était pleine à craquer, mais Godric ne s'arrêta pas pour apprécier la spécialité de la maison, non. Il avait d'autres courses, plus importantes. Le sorcier traversa le salon pour se rendre dans un coin sombre. Il tapota le mur du bout de sa baguette. Trois en haut, deux à côté et une grande allée se dessina devant Godric. Il l'enjamba sans prêter attention à la population, que ça soit le pauvre sorcier faisant la manche, comme quelques filles de joie devant leur maison close. Godric entra dans une boutique fermée et ôta enfin sa cape. Quelques bougies flottaient dans l'air, autour de plusieurs baguettes et d'un désordre déconcertant, où deux hommes discutaient à voix basse. « Bien. J'espère que ça sera vite, Lord Perceval. J'ai à faire au Conseil des Sorciers. » le dénommé Perceval se redressa. Lui aussi, il avait la carrure d'un colosse. Sous sa cotte faite en mithril, il abordait un air grave. « Cela concerne Salazar, Godric. » à ces mots, Godric s'immobilisa. Il n'avait aucune nouvelle de Salazar depuis son départ. « Il a fait alliance avec Lord Ares Black et celui-ci a ressemblé ses bannerets. Ils ont attaqué cette nuit les frontières de ton père... » Le concerné plissa les yeux. Il regarda systématiquement Perceval et l'autre homme, dont le visage était caché par la pénombre. « Dis-moi que tu me fais une farce, Perceval... ? » car la vérité était trop difficile à croire. « J'aimerai. Le Conseil préfère fermer les yeux sur cette acte de guerre, car les Black versent des fonds importants à celui-ci pour organiser Londres et notre société magique, avec les Malfoy, mais Salazar a lancé un assaut. Il se dirige vers Hogwarts avec son armée... Je t'ai envoyé un hibou dès que j'ai appris la nouvelle et j'ai moi-même rassemblé mes bannerets. Je parlerai à Lord Tobias Ollivander qui est mon banneret pour contre-attaquer et proposer une alliance avec les Grimaldi. Leurs dragons nous seraient d'une très grande aide pour mettre fin au conflit rapidement. » expliqua Perceval en posant la main sur le pommeau de son glaive dont la lame était taillée en os de dragon. Godric devait accuser la nouvelle. Il se posa sur une chaise, passant une main sur son front. Ainsi donc, Salazar lui avait planté un couteau dans le dos avec ce départ ? Ses fourberies n'avaient d'égal que sa malveillance. « Il y a autre chose, Godric... » « Quoi d'autre ? Vas-tu m'annoncer qu'il a des centaures comme alliés en plus ? » s'énerva Godric en lui faisant signe de continuer, d'un geste de la main, pressé. « Non. J'aurai préféré. Lord Jorah Gryffindor a été assassiné de la main de Salazar durant le conflit, hier soir. » Le lion releva brusquement la tête, incrédule. Son père... ? Seigneur des terres du Nord, appelées aussi les Highlands, siégeant au Conseil des Sorciers et grand sorcier était mort... ?

La veille, la lune était à son apogée. Salazar regardait d'un oeil attentif, la cité magique de Port-Cassel, propriété des Gryffindor, dormait à point fermé. Cette forteresse constituée le premier pas vers l’obtention de l'héritage magique, selon le serpent. Il tourna la tête vers son principal allié, Ares Black, debout sur son Magyar qu'il avait obtenu des mains des Grimaldi. Il enfila son épée dans son fourreau et prit sa baguette avant de vérifier si ses bannerets étaient en place. Certains étaient à cheval, d'autres à pieds et certains préféraient transplaner, même si ce domaine magique était encore très restreint. Trop nombreux étaient les sorciers qui se brisaient en essayant. « Tout est prêt. » Salazar laissa échapper un sourire satisfait. Ils étaient nombreux et la victoire était acquise pour Port-Cassel, mais ce n'était pas temps le siège et le sac de la cité qui intéressaient Salazar, mais le vieux lion qui dormait entre ces murs.« Alors allons-y. » conclut-il d'un air solennel. Ares hocha la tête avant de fixer un groupe d'une cinquantaine de sorciers qui laissaient échapper des rugissements étranges. La meute Greyback. Bannerets des Black, ils étaient un problème épineux qui devenaient des fauves sanguinaires lors de la pleine lune et massacraient les moldus, mais pour cette guerre, ils s'avéraient être un véritable atout. « Chargez ! » hurla Ares en lançant un sortilège en l'air pour lancer l'assaut. Immédiatement, ce-dernier s'envola avec son dragon alors que la meute descendit de la petite falaise en hurlant, à quatre pattes. Ni sorcier, ni humain. Salazar admira la scène et les sortilèges qui fusaient de tout part. Les soldats des Gryffindor, endormis, étaient prit de court et ils se faisaient massacrer. Rapidement, le lion sortit de sa tanière. Jorah Gryffindor et sa garde sortir du château. Parfait. Salazar dégaina sa baguette, prêt à frapper. Jorah était un adversaire difficile et un sorcier puissant. Il lança plusieurs sortilèges qui filèrent contre ses ennemis qui ne se relevaient pas. Il dégaina ensuite son imposante épée et trancha la tête d'un Greyback. « Sonnez le cor ! Allumez les feux d'alarme et faites quérir un hibou pour Fort Williams ! » s'écria-t-il avant de se baisser ventre à terre en évitant les serres acérés du Magyar de Ares Black qui attrapèrent des soldats pour les jeter plus haut, se fracasser contre la pierre, avant de cracher un feu magique brûlant tout. « Non ! » lança Jorah à travers sa barbe avant de se lever. Il devait le faire lui-même pour appeler des renforts, mais Salazar se dresser sur son chemin. « Toi... ? » Jorah n'en revenait pas. Le sorcier qu'il avait toujours considéré comme son fils, qu'il avait eu comme pupille, comme un frère pour Godric était le responsable de ce carnage ? « Ne chatouillez jamais un dragon qui dort. » le fer claqua. L'épée de Jorah rencontra celle de Salazar qui était bien meilleur duelliste à la baguette. Il esquiva un sort en se jetant au sol avant de frapper violemment Jorah à l'épaule, le paralysant. Mais le vieil homme avait plus d'un tour dans son sac. Il lança un sort qui déchira l'armure du serpent et le sang gicla à son torse. « Que ton père me pardonne. » certain de lui, peut-être trop, Jorah reprit son épée pour éliminer Salazar, à genou au sol, suffoquant. Un filet vermillon ruisselait le long de son menton, mais ce n'était pas la peur qu'on lisait, mais la joie. Il se mit soudainement à parler dans une langue sifflante, inconnue et de la besace de Salazar jaillit une vipère qui mordit Jorah au cou. Celui-ci gémit en sentant la douleur vive, mais trop tard. Salazar se redressa et prit un couteau pour l'enfoncer en plein torse de son ancien tuteur. Ils échangèrent un bref regard avant que Jorah ne s'effondre. « Je reprends ce qui m'est du, tout simplement... Le prochain sera votre fils. » lança-t-il avant de boire une potion pour guérir ses plaies, fabriquée de la main de Helga. Salazar jeta alors un regard autour de lui. Il avait gagné et ce n'était que le début. L'euphorie l'emporta et son rire résonna dans la pénombre.


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