Si loin de la vérité et de la réalité ? Elyon ne possède pas réellement de souvenirs à proprement parlé de ses parents di biologiques quand bien aujourd’hui elle peut contempler d’une œillade noire et lointaine, les faits et gestes de celui qui aurait dû être son paternel. Elle fait partis de ceux qui sont intégrés malgré eux dans la vérité, puis dans la réalité. On a tendance à dire que la vérité est douloureuse mais parfois c’est peut être une délivrance, un peu comme le serait un mal pour un bien. Elyon est tout bonnement le résultat d’une relation illégitime, conséquence d’un adultère fâcheux. Dans ses veines coulent le sang d’Alaric Malfoy et d’une de sa défunte mère dont elle n’a jamais connue l’existence, une existence qui pourtant lui offre la chance de pouvoir vivre encore actuellement. Et cette faveur, Elyon le doit tout simplement à la famille des Grimaldi souveraine des terres du Val des Dragons. Une famille auprès de laquelle la bâtarde trouve amour, confiance et réconfort. Des sentiments que Lady Catelyn lui donne sans aucune retenue tout en lui apprenant ce dont elle doit savoir. Un savoir magique, un savoir humain, un savoir de respect et de loyauté. Depuis toujours, Elyon voit en Catelyn une bonté innée et une femme vaillante qui en tant que régente de ses terres sait se montrer impartiale et directive. Elle lui doit le souffle de vie, et ne lui sera jamais assez reconnaissante pour cela. Agée de quelques années de plus que le jeune Arthur, la jeune femme fait office pour lui d’une grande-sœur. Elyon le protège et le considère comme le lien fraternel qu’elle aurait toujours souhaité avoir, mais ne vivant guère dans l’illusion elle sait où demeure sa place et la teneur des sentiments qu’elle nourrit envers autrui. Les Grimaldi lui ont offert une perspective d’avenir, une famille, des remparts … Elle sait que cela perdurera tant que Catelyn en sera la régente, cependant elle sait que sa vie reste constamment menacée par l’ombre de Rhea Malfoy qui ne souhaite que sa mort. Cette femme a toujours été le pire cauchemar de la jeune Hydra jusqu’à se révéler être son propre épouvantard. Si son père biologique ne la considère que comme de la poussière, cela ne semble pas être le cas de sa femme unique qui désirait bien plus de la voir en cendre avant d’en récolter le cœur.

HEAVEN SHAKING EVENT ∞ Il y a une fracture entre le paysage que tu observes par de là les grandes fenêtres de ta chambre et ce que ta pensée semble vouloir te dire. La neige continue de tomber et flirte avec les rayons du soleil telle une danse étrangère que tu as déjà eu l’occasion d’entrevoir lorsque la régente des terres du Val recevait des émissaires venant quelques fois de pays lointains, des terres que tu désirais si souvent visiter mais que tu découvrais tout de même au travers des nombreux livres que tu pouvais lire ou encore dans tes rêves. A cette pensée soudaine tu esquisses un sourire rêveur mais pourtant si sincère et spontané qu’il est difficile pour toi de le cacher. Les genoux repliés contre toi, tes mains encerclent tes jambes et tandis que tu te balances légèrement d’avant en arrière, tu surprends le livre – qui quelques minutes auparavant reposé sur tes genoux – glissé sur le sol en marbre gris. Le bruit de cette chute te sort de ta songerie et tu le visionnes un instant avant de te lever pour le ramasser. Accroupi, tu le tiens entre tes mains comme un bien précieux comme s’il était une partie de ton corps avant d’être une partie de ton essence. Ce n’était qu’un simple ouvrage de magie relatant les légendes anciennes des dragons et leurs origines, mais tu y tenais assez fortement pour le garder près de toi et le relire encore et encore. Tu souffles sur sa première couverture comme pour enlever les petites poussières collaient dessus, puis tu le serres contre ton ta poitrine tu coté de ton cœur. Tu n’étais qu’une enfant de dix années à peine, mais tout un tas de questions s’imposaient à ta personne. L’enfant illégitime issu du sang d’un Malfoy haut placé était encore en vie, recueilli par une famille tout aussi importante mais consistant un bon parti. Les Grimaldi avait fait de toi leur pupille avant que tu n’es eue le temps d’énoncer ton tout premier mot. Déposant ta main sur le rebord de pierre froid, tes yeux parcourent avec une douceur silencieuse ce paysage qui à la fois paisible et joviale temporise les craintes et l’ombre de tes cauchemars. Ces cauchemars qui depuis quelques semaines – pour ne pas dire quelques années – ne cessent de troubler ton sommeil. Toutes les nuits, le visage de la femme de père biologique ne cesse de hanter tes rêves, cette sorcière qui nuit à ta fatigue ne désire qu’une seule chose : pouvoir étouffer ce souffle de vie qui te permet de profiter d’une existence. Doucement, tu prends une bouffée d’air comme te détendre tout en fermant tes paupières lorsque la porte de la pièce claque avec un petit tâtonnement. Tu sursautes tout en glissant ta main dans la ceinture de ta tenue pour y sortir avec discrétion et prudence le poignard qui t’accompagne partout où tu te rends. Tu ouvres à nouveau les yeux, ta main gauche reposant sur le manque de ton arme blanche forgé par l’une des connaissances de la famille Grimaldi. Des pas se rapprochent avec un rythme gracieux à défaut d’être tranquille et une main se pose sur ton épaule. Sans crier garde tu te retournes, pointe de ta lame figée sous le cou de l’inconnu qui en tout réalité n’est que Lady Catelyn en personne, celle qui t’a élevée comme sa propre fille et qui protégé ton existence depuis le jour où elle t’a recueillie. La main de la jeune femme se pose avec délicatesse sur ton poignet avant de prendre le poignard avec prudence. « … Et bien Elyon, je suis contente de voir combien vous avez retenu l’importance de vos leçons. ». Ses paroles étaient teintées d’un certain amusement mais aussi d’un sérieux quelque peu palpable. A force de temps, Catelyn avait appris à lire en toi et le fait qu’elle soit également une mère y été sans aucun doute pour quelque chose. Tu baissas le regard, honteuse de ton comportement avant d’effectuer une petite révérence que tu conservas jusqu’à ce que tu sentes sa main relever ton menton. Les traits de son visage étaient sincèrement inquiets et empreint d’une incompréhension qui lui échappait. « Relève-toi mon enfant. ». Te dit-elle avant de croiser ses mains, sa longue silhouette élancée et gracieuse te communiquant sans un mot combien elle ne t’en voulait guère. Tes prunelles azuréennes toisèrent avec un grand respect ta bienfaitrice et tu avalas difficilement ta salive. « Pardonnez mon erreur et mon geste votre Grâce …. Je suis juste … ». Tu ne pus finir ta phrase car tu ne trouvais pas les mots pour définir ton acte, la peur de l’image de la dame des Malfoy ne cessait de te hanter comme ton propre reflet. La panique prenait doucement naissance en toi, et scellait tes lèvres. La jeune femme aux reflets de jais s’abaissa à ta hauteur avant de ranger ton arme dans son fourreau, et considéra d’un sourire complice et catégorique à la fois. « Il ne t’arrivera jamais rien Elyon. Tant que je serai de ce monde je te protégerai comme si tu étais ma propre fille et tu sais combien je tiens toujours mes promesses, n’est-ce pas ? ». Sa voix était légère et affectueuse à la fois que tu finis par hocher la tête. Sa conviction en sa foi était irrévocable et son respect en sa personne était pour toi à jamais fondée. « Les cauchemars ne sont que les reflets de nos craintes pas vrai ? Lady Catelyn … ». Ces paroles c’étaient échappées de ta bouche malgré toi, mais tu avais besoin d’entendre et de recouvrer la raison auprès de la seule personne qui te considérait comme un individu. Elle caressa affectueusement ta chevelure d’un bond sauvage, ses bras entourant tes épaules. « Le pouvoir des mots Elyon, c’est exactement ça. N’oublie pas ce qu’est notre devise : du dragon à la flamme. Tout un art de compréhension et de raison. La feu chasse les peurs et éclaire les chemins mon enfant, tout comme le narre ton ouvrage. ». C’est vrai. La maison des Grimaldi élevait des dragons depuis des générations et des générations sans compter toutes les précieuses informations et artefacts qui prenaient naissance dans ses contrées. Le feu filtrait les ombres, éclairait les chemins comme le faisait la lumière. Un sourire timide se dessina au coin de tes lèvres en pensant à la force de feu, des flammes du dragon qui te renvoyait à l’harmonie forte comme le roc de la famille des Grimaldi. « Ma dame, le petit Arthur ne désire aucunement sortir de sa chambre et réclame Lady Elyon auprès de lui … ». Soupira avec lassitude la jeune servante quelque peu dépassée par ce bambin quelque peu capricieux et tenace. Lady Catelyn émit un léger rire amusé, un rire auquel le tien s’ajoute. « Je vais vous venir en aide et aller chercher Arthur votre Grâce. ». Elle opina d’un signe de tête alors que tu prenais la direction de la sortie de la pièce en quête de convaincre ce petit Arthur de sortir de ses appartements. Tu sais et saurais toujours que tu étais le résultat d’une équation de mauvaise augure pour certains, une enfant illégitime pour d’autres rien de plus qu’une bâtarde dans l’ordre du monde. Et dans ce dernier, il n’y avait que de l’incertitude dans cette perspective. Tu ne serais jamais noble, tu ne serais jamais une grande dame mais là n’était pas tes espoirs car la vie que tu vivais actuellement te procurait bien plus que tout l’or ou la chance du monde. Du dragon à la flamme, ces dernières veilleront toujours sur ton être.

EYES ON FIRE ∞ Autrefois c’était d’un regard complétement assassin qu’il t’affublait. Aujourd’hui c’était d’un regard sereinement loyal que ce Suédois à museau court te couvait. L’apprentissage de ce dragon c’était révélé beaucoup plus ardu et épineux que prévu et donc son dressage se devait d’être plus abrupt que prévu. Pour autant, c’est assise sur l’une des nombreuses roches de la montagne que tu communiques en sa compagnie tout en poursuivant ta lecture d’un ouvrage londonien. Contrairement à Arthur tu ne pouvais suivre l’enseignement à l’école de magie, mais cela n’empêchait pas le fait de t’instruire. Tu étais plutôt douée en la matière et la maitrise de la pyromancie avait révélé en toi un très grand potentiel, toi qui n’étais pas une Grimaldi de sang. Le soleil qui brillait qu’une grande chaleur finirait d’ici quelques minutes sa course derrière un horizon digne des couleurs du blason des Seigneurs de ces terres. « Vous savez, vous devriez vous montrer plus discret pour me surprendre Arthur. ». Ton assertion était posée mais tout aussi malicieuse à la fois. Tu avais beau être plongée dans ta lecture, l’éveil de tes sens et de ton attention n’en demeurait pas moins mis au reclus de ton silence. Bien sûr, il ne fallait oublier la présence de Thorn qui allongé derrière toi te murmurer de son propre langage l’arrivé de ton frère de cœur. Tu pouvais entendre le souffle court et râleur du jeune homme, témoins de sa déception de pouvoir parvenir à ses fins. Finalement, il se laissa tomber sur un petit corps de roche, sa tête reposant entre ses mains. « Sans aucun doute j’y penserai la prochaine fois ! Il faut toujours ce que votre dragon moucharde tous et n’importe quoi, pourtant n’est-il pas à museau court ! ». Jura-t-il avec véhémence et colère mais une colère qu’il semblait diriger envers lui-même. Un sentiment colère qui d’apparence le dépassait d’une manière que tu n’as jamais éprouvée, et tu trouvais cela surprenant surtout venant du jeune blond. « Pardonnez-lui son instinct primaire Arthur, vous savez combien Thorn peut se montrer orgueilleux et protecteur. ». Déclares-tu calmement tout en tournant quelque peu tes prunelles d’azur vers le dragon qui de ces écailles d’un bleu-argenté pousse un grondement de mécontentement. Tu le couves un moment du regard, puis tu fermes ton livre d’un coup sec pour sortir ton compagnon de sa léthargie que tu espérais passagère. « Que se passe-t-il Arthur, vous semblez en proie à une colère qui vous dépasse. ». Tu observas ses petits yeux marrons emplit d’une tristesse palpable qui le rendais presque vulnérable mais il demeurait avant tout un homme fier dont tu ne voulais aucunement blesser la bravoure et l’égo, surtout lui. Il passe une main dans sa tignasse en bataille avant de reporter son attention sur ta personne, tu fronces derechef les sourcils. « Que ferais-tu si tu désirais si fortement une chose mais que tu ne peux l’avoir ? Parle-moi en toute honnêteté Elyon. ». Son timbre de voix avait mué depuis le temps mais à chaque fois qu’il revenait pour les vacances tu constatais un peu plus qu’il avait grandi en maturité – quand bien même certains avaient tendance à croire qu’il faisait beaucoup plus jeune que son âge – et sa mère – Lady Catelyn – en était très fière. Quelque chose le travaillait à l’intérieur mais tu voyais que cela le rongeait de l’extérieur et cela te ramena sans le vouloir à tes démons personnels. « Et bien, je crois que si je la désire réellement alors je ferai tout ce qui est possible pour avoir cette personne auprès de moi. ». Murmures-tu à son intention tout en le gratifiant d’un maigre sourire farouche. Tu avais compris que cela concernait le sort d’une jeune fille quand bien même tu ne connaissais pas son identité. Arthur n’était encore promis à aucune union mais il était dans la fleur de l’âge après tout, c’était logique. « Comment as-tu … ». Tu secoues machinalement ton visage d’un mouvement négatif, un sourire amusé présent sur le coin de ta lèvre. « Je l’ai compris tout naturellement Arthur. ». Son expression te considéra avec un respect complice, comme autrefois lorsque vous étiez tous deux encore des enfants qui courraient dans les herbes hautes et sauvages de la clairière aux alentours du donjon. Vos rires communs et le ronflement tonitruant de ton dragon sont les seuls témoins de votre présence sur la montagne alors que soleil décline son dernier rayon. Ce spectacle est toujours aussi beau, aussi reposant. Tu lèves ta main droite, concentre ta respiration sur les battements de ton cœur afin de faire apparaitre une petite flamme au creux de ta paume. Tes paupières s’ouvrent se calquant sur celle d’Arthur qui pousse de son pied quelques brindilles de bois morts qui finissent par s’enflammer lorsque Thorn lance un filet de flamme d’un bleu presque éclatant en direction du bois. Tu secoues la tête en le regardant avant de fermer ta main pour étouffer le feu qui veillait au creux de ta main. « Je te l’avais bien dit Elyon, ce dragon est bien trop controversé ! ». Sa réplique était moqueuse et amusé – son rire en témoignait – mais tu ne t’en rendis guère compte car tes yeux communs à la couleur de la mer en hiver toisaient avec silence les flammes dansantes d’un feu naissant.

UNDISCLOSED DESIRES ∞ Les palpitations de ton cœur s’ébranlent tel l’envol d’un papillon sauvage. Des frissons parcourent ton échine dorsale. Ses lèvres transcrivent un chemin sur ta peau satinée en y déposant des baisers légers et brulants à la fois. Il caresse ton dos avant de remonter vers ton cou, ses mains encerclant ta taille. « Tu prends congé bien trop rapidement ce soir, laisse-moi te demander pourquoi ? ». Son timbre de velours berce ton ouïe comme le ferait les mains d’un musicien sur son instrument. Ses paroles frôlent ta peau comme une danse ancienne et tu esquisses un sourire aux commissures de ta bouche. Si tu écoutais les mouvements de ton cœur, tu resterais en en sa compagnie, aux creux de ses bras pour un bon moment – pour ne pas dire à jamais – mais il te faillait être une personne rationnelle et prudente. Tu n’avais jamais réellement compris pourquoi le Seigneurs des Ravenclaw t’avait choisi toi, la bâtarde d’un Malfoy alors qu’il pouvoir choisir de son sort et poser son choix sur une noble habilité à la cour. Les rumeurs sur le compte de Rowan parcouraient tous les recoins du pays et tu savais qu’il n’était pas du genre à laisser les sentiments s’éprendre rapidement de sa personne. Son souffle chaud réchauffa davantage ta peau froide, alors que tu déposais ses mains sur les siennes. Les prunelles closes tu apprécies ce moments – qui parmi tant d’autres – doivent demeurer dans le silence. Rowan était un seigneur dans toute sa splendeur et sa souveraineté n’avait d’égal que l’ambition franche de ses actes. Il avait de belles et magnifiques paroles à ton égard, aucun homme n’en avait d’aussi tendres à ton encontre mis à part quelques connaissances, celles qui ont grandis en ta compagnie. Et quelques fois tu te sens complétement idiote à l’image de ce que tu peux représenter pour sa personne, mais tu ne peux t’empêcher et ce depuis bien des années. Tu as toujours pris soin de le regarder d’une œillade lointaine et prudente même lorsque Catelyn l’accueillait en toute paix sur ses terres. Cachée derrière une énorme colonne de pierre, tu te revois encore l’observer et ressentir une affection passionné et vivace. L’aigle de la famille Ravenclaw tortura de plaisir une fois de plus ta peau et tu laisses un rire mutin s’échapper d’entre tes lèvres. « Je dois absolument regagner la demeure des Grimaldi … Même si je pars à regret. ». Murmures-tu doucement à son attention tout en lui faisant face. Tu passes d’un geste affectueux la main dans sa chevelure en bataille, ses prunelles d’un noir corbeau se fondent parfaitement dans ton encre bleuté. Ton regard se fige sur son visage, tes mains descendent vers son torse prouvant la virilité qui le défini si bien autant dans le cœur que dans la raison. Tu aimerais le connaitre davantage, apprendre à le cerner mais tu sais que c’est trop demander et tu te contentes avec satisfaction de ce que l’existence t’offre. Seulement ma pauvre enfant, malgré ta force et ta bravoure tu n’as pas idée de la noirceur et l’avidité de certaines âmes ! Son pousse caresse ta joue d’un geste gracile avant de capturer ta bouche d’une ardeur que tu ne lui connaissais que très peu. Un échange auquel tu ne voulais aucunement mettre un terme mais tu le devais, car l’ombre du visage de tes cauchemars fit de nouveau surface dans tes pensées. « Je ... Pardonnez-moi Rowan mais …. ». Il hocha la tête te semble-t-il d’un air vaincu, une expression étrange. « Tu dois prendre congé, j’ai entendu vos paroles Elyon. ». Tu devais te préserver des desseins de l’ombre des Malfoy, tu savais qu’elle désirait ta mort, Rhea chérissait ce vœu plus que tout, tu le savais mieux que personne. Reculant de quelques pas en direction de la porte, tu pris soin de te revêtir tes cheveux d’un blond des sables de ta cape avant de lancer une dernière œillade à l’homme qui faisait naitre tant d’émotions dans ton cœur et tant d‘espoir dans ta raison. Tu sors de la chambre à coucher en silence, tout en ayant pour seul écho les paroles de Rowan. « Prenez garde sur le chemin Elyon. ». Des échos qui t’accompagneront en attente d’une prochaine visite de nuit.

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Mais quelle fiche. Elle est splendide, parfaite. Et mention spéciale à la deuxième personne, c'est rare quand on arrive à l'utiliser aussi bien.