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 Crazy word, crazy wordl i feel i'm falling down (m)

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Sekhmet Oswald

Sekhmet OswaldHALFBLOOD
PARCHEMINS : 128
ÂGE : 31
PROFESSION : Courtisane
LOCALISATION : Au Filet du Diable, dans ses appartements
ALLEGEANCE : A personne, si ce n'est à elle-même.

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MessageSujet: Crazy word, crazy wordl i feel i'm falling down (m)   Crazy word, crazy wordl i feel i'm falling down (m) EmptyMer 30 Jan - 22:06

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    « Il faut que je sorte. Je n’en n’aurais pas pour longtemps, je te le promets ». Elle inspire doucement, serrant de sa main droite sa robe ample. Son regard fixé alors sur le sol, se relève doucement et se fixe dans celui d’Adriàn qui se révèle comme à chaque fois aussi froid que la glace que l’on trouve dans les royaumes du Nord. Pourtant, l’égyptienne essaye de rester impassible, bien que sa fierté si légendaire et arrogante semble transpirer par chaque pore de sa peau. Elle le promettait, elle lui suppliait presque. Juste une heure ou deux, le temps de respirer un peu loin de cette cage dorée, loin de ces odeurs d’encens, loin de tout cette atmosphère qui devenait invivable. Souvent, être enfermée dans un tel endroit lui donnait envie de vomir, de se jeter contre les murs ou de ne plus jamais se réveiller. Souvent elle observait par la fenêtre, le cours de la vie sans jamais y prendre véritablement part. « C’est pour Râ, il faut que je lui achète de la nourriture, il n’en a plus. Et la dernière fois que Jamâal y est allé, il ne fut pas fichu de prendre les bonnes ». Cette phrase, Sekhmet l’avait dite avec plus d’assurance tout en haussant la voix afin que le Jamâal en question l’entende. C’était mesquin, futile comme réaction, mais dès qu’il s’agissait de son oiseau, de son cher phénix, l’égyptienne était très vite des plus exigeante. C’était l’un des seuls êtres vivants auquel elle s’était attachée dans ce bas monde, et qui lui restait fidèle. Chose inconvenable pour une courtisane. La fille de joie crut que le silence de son maitre dura des heures. Mais, il fut brisé simplement par « D’accord, mais Jamaâl t’accompagne, je n'ai pas envie que tu ai de folles envies d'évasion. ». Sekhmet soupira se retournant alors contre le dénommé qui accoudé contre le mur du fond ne bronchait pas, tout en laissant sur ses lèvres un sourire s’esquisser. Une montagne de muscles dont le rôle était de protéger le patron et les filles, pas forcément idiot, mais le souffre douleur de l’égyptienne qui s’amusait à le ridiculiser sachant que jamais elle n’aurait de représailles. Son corps était bien trop précieux pour qu’Adriàn accepte la moindre marque. Même si parfois, elle en avait l’envie, juste pour voir qu’elle était encore en vie, capable de mourir et de souffrir.

    Il ne lui fallut pas longtemps pour se retrouver dehors, enveloppée dans une cape de velours rouge et un sac qui contenait son oiseau qui se retrouvait alors à l’état d’oisillon. Cet oiseau avait toujours impressionné l’égyptienne qui s’émerveillait devant l’éternel recommencement de sa vie. Majestueux un jour, minuscule le lendemain Sekhmet voyait en lui la poésie d’un éternel cercle qui se répétait sans cesse, d’une vie qui se renouvelait sans cesse et qui se réinventait toujours. Accompagnée de son ombre imposante, Sekhmet savourait ce moment de liberté qui n’était que trop éphémère à son gout. On pourrait croire qu’au fil des années, elle s’était faite à sa condition, mais la réalité était toute autre. Jamais elle n’avait apprécié le fait d’être enfermé, ni le fait de devoir laisser entrer dans sa chambre le premier riche venu, elle s’en était juste accommodé comme une noble s’accommode du fait que son mari vienne dans un bordel. On fait avec, quand on ne peut faire autrement.

    Poussant la porte de bois, Sekhmet s’avança jusqu’au comptoir aux côtés d’une jeune fille qui les joues roses ne semblait pas avoir passé ses seize printemps. La scrutant quelques instants, la jeune femme ne put s’empêcher d’engager la conversation, aussi banale soit-elle.
    « Etrange réalité de voir une enfant seule, indépendante et sans escorte dans la même pièce qu’une femme chaperonné, ne trouves-tu pas ? ». Jamaâl attendait dehors, mais était toujours visible ce qui exécrait au plus haut point la jeune femme. Laissez moi croire juste un instant que je ne suis pas celle que je suis. Parle moi, juste quelques minutes, le temps d’oublier.

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Mellony Black

Mellony BlackHOGWARTS
PARCHEMINS : 148
PROFESSION : Dame de la maison Black et dame de la Vallée des Loups. Etudiante à Poudlard accessoirement.
LOCALISATION : La Vallée des Loups.
ALLEGEANCE : A mon père, à ma famille, aux Black.

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MessageSujet: Re: Crazy word, crazy wordl i feel i'm falling down (m)   Crazy word, crazy wordl i feel i'm falling down (m) EmptyJeu 31 Jan - 22:10

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    Un livre dans la main, une pomme dans l’autre, affalée sur l’un des nombreux divans de ce château, Mellony lisait silencieusement page après page de son livre de savoir-vivre. Le professeur Weasley avait apprécié lui donner autant de lecture sur l’éducation d’une jeune femme raffinée. S’il y avait bien des qualités que la Dame de la Vallée aux Loups ne possédait bien, c’était l’élégance et la grâce. Ce n’était pas une nouveauté auprès de son foyer. Jadis, son père avait tenté de la rendre féminine pour mieux la marier par la suite. Mais qui voudrait d’une enfant aux manières bestiales ? Peu importe ce qu’on pouvait dire à son sujet, elle était sociale et présentable lorsqu’elle le souhaitait, mais ce n’est pas qui elle est vraiment, c’est la personne que l’on veut qu’elle soit. Et Mellony détestait endosser ce rôle. « J’entends mon dragon pleurait de faim. Ô Diable, pourquoi n’est-il pas nourri ? » Ne faisant pas attention aux paroles de son père, l’enfant Black tourna les pages de son livre en alternant avec sa pomme, qu’elle prenait plaisir à croquer. Le patriarche de la famille s’approcha de son unique fille, l’air furieux. « Mellony ? » Dit-il en posant un regard imposant sur elle. Elle leva les yeux vers lui, la bouche entrouverte, la pomme venant de tomber de sa main à cause de l’effrayante de stature que prenait Arès. « Comment pourrais-je le savoir père ? Ce n’est pas à moi de m’occuper de votre animal de compagnie. » Osait-elle répondre avec autant de confiance en elle. Depuis que l’annonce des fiançailles entre Lady Slytherin et son père, Mellony se rebellait quelque peu. Elle ne pouvait supporter l’idée de se retrouver avec Ashara comme belle-mère, et elle haïssait son père pour avoir pris cette décision. Elle n’hésitait donc pas à faire face à lui, sachant pertinemment qu’il n’osera jamais lever la main sur sa fille. « Pour cette insolence, jeune fille, je te donne la charge du dragon pour le mois à venir. » Elle fronça les sourcils, outrée par la punition de son père. Jamais ne s’était autant emporté pour de simples mots. Elle ne répondait pas, le dévisager suffisait amplement à lui faire comprendre ce qu’elle ressentait à l’instant présent. « Et maintenant, va nourrir mon dragon ! » Ordonna-t-il en haussant sa grosse voix rauque. L’adolescente sursauta, et elle effectua les ordres de son père.
    Sans plus attendre, elle se dirigea vers les écuries. Elle prépara son cheval puis elle monta dessus et commença à galoper en direction de Londres, seule. Mellony s’arrêta devant le Royaume du Hibou. Elle descendit de son cheval, qu’elle attacha à la clôture de la boutique. Elle entra en vitesse, pour éviter de se faire voir par des camarades de classe qui pourraient l’humilier plus qu’elle ne l’est déjà par cette guerre. Bien heureusement ils étaient trop occupés à tous regarder le nouveau balai qu’ils étaient incapables de s’offrir. « Excusez-moi. » Dit-elle en dérangeant le propriétaire du magasin, qui se retourna lorsque la jeune fille lui adressa la parole. « Savez-vous de quoi se nourrissent les dragons ? » Il esquissa un sourire en acquiesçant la tête d’un signe positive. « Je vais vous chercher ça dans l’arrière-boutique, Miss. » La petite Mellony sourit au vendeur et attendit patiemment son retour.

    La Black s’impatientait, le retour du vendeur se faisait désirer. A l’instant précis, elle venait de comprendre pourquoi le dragon de son père mourrait de faim. La nourriture de dragon de qualité était dure à trouver. Pourtant, elle jurait qu’un steak pouvait suffire. Une clochette la fit sortir de ses pensées. La porte de la boutique venait d’être franchie. Elle n’osait pas se retourner, de peur de se retrouver avec une connaissance qu’elle ne voulait probablement pas croiser ici. C’était une femme. Une femme au parfum envoûtant qui engagea la discussion avec la jeune fille. « Etrange réalité de voir une enfant seule, indépendante et sans escorte dans la même pièce qu’une femme chaperonné, ne trouves-tu pas ? » Mellony se retourna et elle remarqua qu’un homme attendait devant la porte. C’était curieux de voir une adulte se faire escorter en ville. Elle se tourna à nouveau, le buste face au comptoir. Elle répondit sans prendre la peine de regarder la chaperonnée dans les yeux. « D’avantage étrange que cette enfant soit abordée par une femme, escortée soit-elle. » L’adolescente était habituée au silence. Peu de personnes n’osaient lui adresser la parole à cause de son jeune âge, du fait, elle était solitaire. Se faire accoster par une femme plus âgée et sans doute plus mûre l’avait retourné de l’intérieur. Que pouvait-il bien se passer dans sa tête pour parler à une enfant ?
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Sekhmet Oswald

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MessageSujet: Re: Crazy word, crazy wordl i feel i'm falling down (m)   Crazy word, crazy wordl i feel i'm falling down (m) EmptySam 2 Fév - 21:47

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    « D’avantage étrange que cette enfant soit abordée par une femme, escortée soit-elle. » Lentement un sourire semblait s’esquisser sur les lèvres de la jeune égyptienne alors que durant quelques secondes son regard détailla longuement la gamine. Petite pour son âge, ses vêtements ne laissaient aucun doute sur le fait qu’elle soit de haute naissance, pourtant elle n’avait rien d’une dame ou d’une lady. Une sauvageonne, l’air fier et hautain, le langage vif et le regard acéré, cette dernière devait donner du fil à retordre à ses géniteurs. Sekhmet ne fut pas comme ça plus jeune, on lui avait toujours demandé d’obéir ce qu’elle fit sans sourciller. Quitte à donner sa confiance à tout le monde et à croire que tous furent bienveillants à son égard. Mais il avait suffit d’un seul acte pour que tout se brise, tout s’écroule. Juste un seul acte pour que sa confiance se révèle inaccessible, pour que ses sourires soient aussi faux que ses paroles et qu’elle ne voit en les autres qu’un intérêt ou un profit.

    «Vous, les anglais … vous êtes aussi froid et aimable que votre terre. Néanmoins, on ne peut qu’apprécier votre franchise et votre méfiance vous honore. Il est vrai que dans ce pays, on peut avoir la tête tranchée, si l’on s’adresse à la mauvaise personne.» Il est vrai qu’il fallut longtemps à la jeune femme avant de s’habituer à ces terres froides, à savoir parler correctement et en apprendre les usages. Parler et qui plus est à une enfant n’était pas quelque chose de guère courant, ici tout le monde se méfiait de tout le monde jusqu’à ce que l’on prouve qu’on soit digne de confiance, les gens de la noblesse se battaient entre eux pour de simples étendards. Il fut délicat pour elle de s’intégrer à un pareil milieu, chez elle on souriait, on dansait, on chantait, on vivait. Bon par la suite, on se plantait des poignards dans le dos, on empoisonnait, toujours avec fierté, mais le geste restait fourbe et les intentions mauvaises. Coutumes et mœurs différents, mais les hommes restaient toujours les mêmes, à la recherche de ce que l’on tarde à avoir, à la recherche de quelque chose que l’on ne trouvera jamais.

    « J’imagine que vous avez un animal à la hauteur de votre rang. Les hommes aiment autant parader avec leurs animaux qu’avec leurs prouesses sexuelles, mais ce sont parfois les plus petits les plus performants et plus grands les plus fainéants. Mes paroles ne vous choquent pas au moins ? Dois-je craindre un bourreau quelconque pour ces offenses ? » La faire réagir. Voir si elle avait du répondant et si son regard d’acier ne se perdait pas quelques secondes. Voir si les crocs qu’elle semblait montrer à Sekhmet n’étaient pas encore de simples canines qui caressent plus qu’elles mordent.
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Mellony Black

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MessageSujet: Re: Crazy word, crazy wordl i feel i'm falling down (m)   Crazy word, crazy wordl i feel i'm falling down (m) EmptyMer 6 Fév - 21:15

Crazy word, crazy wordl i feel i'm falling down

    Appuyée, elle était appuyée. Appuyée sur le comptoir. Elle ne faisait guère attention aux paroles de cette femme qui semblait avoir un quota d’expression par jour. Le bois qui servait d’accoudoir à la jeune fille était plus intéressant que cette bavarde. Elle faisait son possible pour la repousser, lui faire comprendre qu’elle n’était ici seulement pour un achat. Depuis cette déclaration de guerre, Mellony faisait attention à ses fréquentations. Elle ne savait juger, elle ne savait faire la différence entre les hypocrites et les honnêtes gens. De ce fait, elle avait peur de tomber à tout instant sur un espion du Lord Gryffindor. Ce pauvre Godric devait être tombé bien bas pour envoyer un espion sur une gamine. La jeune Black ne se mêlait jamais des affaires de son père, combien même cette histoire de guerre l’avait beaucoup accablé. Elle préférait ne pas s’en occuper, cela serait fatale pour le camp adverse, au vu des informations qu’elle dispose par sa discrétion. Et malgré ça, elle était relayée au soin du dragon par son père. N’imaginait-il donc jamais combien devait-il être reconnaissant d’avoir de tels enfants ? Sous-estimée, elle était sous-estimée. Et pas qu’un peu.

    « Vous, les anglais … vous êtes aussi froid et aimable que votre terre. Néanmoins, on ne peut qu’apprécier votre franchise et votre méfiance vous honore. Il est vrai que dans ce pays, on peut avoir la tête tranchée, si l’on s’adresse à la mauvaise personne. » La Dame de la Vallée aux Loups ne fit pas attention à cette remarque. Elle se devait d’être civilisée, pour une fois dans sa vie, probablement. Elle leva ainsi les yeux vers la femme qui se tenait droite devant elle. Ses yeux étaient d’une noisette sombre propre à ce genre de peau colorée et son visage contenait des traits doux et distinct. Cette femme n’était pas anglaise. Mellony l’avait déjà remarqué à son accent oriental et à sa manière de parler. Par ici, personne n’oserait adresser la parole à une enfant, encore moins à une Lady lorsque nous avons qu’un simple rang de roturière. Et ce tact qu’elle avait dans sa voix. Elle était franche, elle osait dire ce qu’elle pensait. Même si c’était risquer. Cette femme ne savait pas ce qu’elle risquait pour dire de telles choses sur ce pays tant aimer par ses citoyens. L’adolescente haussa un sourcil avant de scruter le fond de ses yeux. Elle ne pouvait être un espion. Elle semblait trop innocente pour cela. La gamine esquissa alors un sourire en coin. « Certes. » Elle inclina légèrement la tête sur le côté puis elle se remit à cette contemplation du bois. « Vous me semblez plus égarée que vous n’en avez déjà l’air. » Répliqua-t-elle banalement.

    « J’imagine que vous avez un animal à la hauteur de votre rang. Les hommes aiment autant parader avec leurs animaux qu’avec leurs prouesses sexuelles, mais ce sont parfois les plus petits les plus performants et plus grands les plus fainéants. Mes paroles ne vous choquent pas au moins ? Dois-je craindre un bourreau quelconque pour ces offenses ? » Son honnêteté la faisait sourire. Jamais auparavant, Mellony n’avait pu croiser quelqu’un d’aussi cru. C’était plaisant de voir qu’une personne ne faisait attention à son âge, ne retenait ses mots de peur de choquer l’enfant. Non. Elle menait cette conversion très étrange et parfaitement adulte avec cette femme. « Je ne possède qu’une simple chouette, Miss. Vous devez ressentir une telle haine envers le sexe masculin pour vous exprimer avec autant d’ardeur à leur sujet. Que vous ont-ils fait ? » Demanda l’adolescente. Même si elle ne cherchait qu’à s’enfuir de cette situation, elle voulait en savoir plus sur cette femme qui se montrait de plus en plus mystérieuse et énigmatique. « N’ayez crainte. Je les fuis moi-même. » Ajouta-t-elle toujours avec autant de répondant. Jamais Mellony ne s’était montrée aussi confiante devant une inconnue. Néanmoins, une dernière chose l’intriguait : comment avait-elle pu savoir qu’elle faisait parti de la suzeraineté ?
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MessageSujet: Re: Crazy word, crazy wordl i feel i'm falling down (m)   Crazy word, crazy wordl i feel i'm falling down (m) Empty

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