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| ∞ demande de particularités magiques | |
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Auteur | Message |
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PROFESSION : ☇ étudiante à hogwarts, en troisième année.
LOCALISATION : ☇ au fond du lac noir.
ALLEGEANCE : ☇ d'abord, à elle-même. puis, au plus offrant.
| Sujet: Re: ∞ demande de particularités magiques Mer 30 Jan - 16:43 | |
| Âge du sorcier + vingt ans Particularité désirée + métamorphomage Motivations + alors, en premier lieu, ce serait pour moi, parce que je n'ai jamais joué de sorciers avec une quelconque particularité. ce serait donc une première et j'ai toujours vraiment aimé ce don de métamorphomage, ça m'intéresse, me fascinerait presque. enfin, c'est surtout pour l'évolution de rhaenys. c'est un personnage victime d'importants dilemmes intérieurs, qui est loin d'être en paix avec elle-même et ce don serait vraiment un immense problème pour elle. je pense que ce serait vraiment intéressant, sur le long de terme, je l'imaginerai bien être confrontée à l'utilité de son don d'un côté – pour la guerre ou toute autre cause – et de l'autre, son besoin viscéral de s'en écarter. bref, à mes yeux, ce don ferait partie intégrante du personnage et j'aimerai faire lentement évoluer rhaenys, jusqu'à ce qu'elle ait recours à son don plus que nécessaire pour soit l'accepter totalement soit le rejeter définitivement en bloc. Impact sur la vie de mon personnage au quotidien + alors, commençons par le début. (logique ) gamine, rhaenys s'en amusait beaucoup avec son frère jumeau – lui aussi métamorphomage –, multipliant les plaisanteries à l'encontre de leur père, faisant tourner en bourrique les elfes de maison, ce don était une source d'amusement réellement inépuisable et aussi un moyen pour se raccrocher à sa mère – de qui elle a hérité cette particularité –. arrivée aux alentours des dix ans, avec la manifestation du reste de ses pouvoirs magiques, le don a commencé à lui échapper et rhaenys s'est retrouvée à changer intempestivement d'apparences, toutes plus saugrenues les unes que les autres, au milieu des repas, pendant la nuit, sans pouvoir retrouver son physique d'origine d'elle-même, devant attendre des heures avant que cela revienne à la normale. ce fut donc de longues soirées à s'énerver, crier, pleurer parce qu'elle se sentait impuissante et victime de ce don qu'elle aimait tant gamine. dés lors, tout s'est compliqué tandis qu'elle en est venue à exécrer son don, voulant s'arracher ses cheveux, tantôt ébènes, tantôt bleus électriques. son père a grassement payé un nombre incalculable de précepteurs pour que ceux-ci l'aident à surmonter cette passade ô combien agaçante, en vain. elle réussit à retrouver le contrôle vers ses quatorze ans, quelques mois après la mort brutale de son géniteur et, à peine commençait-elle à apprécier de nouveau son don, qu'elle dut s'en servir pour une besogne qu'elle jugeait abjecte. envoyée au filet du diable, rhaenys s'est rapidement construite une réputation tandis que la patronne du bordel arguait qu'il suffisait à ses clients de demander, et leurs moindres désirs seraient exaucés. un nombre incalculable de fois, elle dut voir son corps changer, ses yeux et cheveux prendre une teinte différente, pour simplement assouvir les pulsions d'un sorcier libidineux. la métamorphomagie s'amusait d'elle comme elle en jouait étant gamine et, depuis qu'elle est devenue le jouet de quantité d'hommes à cause de ce don, elle le perçoit comme une malédiction. elle le tient en horreur et voudrait pouvoir l'extirper de son être. c'est un cauchemar pour elle, une réelle hantise, une peur viscérale qu'on apprenne ce qu'elle est, terrifiée à l'idée qu'on lui demande de recommencer, de redevenir l'instrument de désirs qui ne sont pas les siens. ce don est devenu un fardeau bien trop lourd pour ses frêles épaules et un secret qu'elle garde jalousement caché. il l'obsède et la terreur la cloue sur place lorsqu'elle pense que quelqu'un l'a percée à jour. une véritable malédiction. Détails à communiquer en plus + je pensais qu'à force d'avoir du user de ce don, rhaenys saurait le contrôler à merveille. ainsi, lors de ses sautes d'humeur qui devraient interférer sur son physique, seuls la couleur de ses yeux change tandis que ses cheveux demeurent ébènes. c'est un changement moindre, à son plus grand soulagement. mais ce n'est vraiment qu'un détail. Depuis quand la particularité est présente ou acquise + depuis sa naissance, même s'il ne s'est manifesté que vers ses six ou sept ans. elle a hérité ce don de sa mère, elle-même métamorphomage. Test RP pour expliquer la vie de votre personnage et son don (400 mots minimum) + - Spoiler:
Tu le regardes, stoïque, impassible. Le visage fermé à toute émotion, tu dardes ton regard dans celui identique, juste en face. Tu aimerais tellement passer tes doigts fins autour de sa gorge opaline et serrer, serrer fort, jusqu'à y laisser d'inquiétantes marques bleutées. Tu aimerais lui arracher ses yeux, oscillant entre l'azur d'un ciel d'été et l'absinthe, n'y laisser que deux orbites profondément vides. Vides, comme ta poitrine. Ils t'ont vidée. Vidée, humiliée, souillée. Et la colère est si grande, la honte aussi alors que chaque main qui a pu effleurer ta peau n'a fait qu'y laisser une marque ineffaçable, tandis qu'un goût amer et infect remontait le long de ta gorge. Le goût de la bile, que tu recraches dés que la porte se referme, sans un regard en arrière. Et leurs yeux, ces yeux qui te lorgnent avec concupiscents, ce ne sont que deux longues dagues qui viennent lacérer ton orgueil, le peu d'amour propre que tu as su protéger. Ils se font les griffes sur ton palpitant, déjà trop abîmé pour ne faire qu'espérer qu'il puisse un jour fonctionner de nouveau correctement. Tu l'observes, le visage soudain dur, un pli amer déformant ta bouche, un regard assassin, meurtrier, orageux. Un ciel si bleu devenu orage. C'est tout ce que sont tes yeux, un orage qui demande à déferler sur le monde entier, à foudroyer tous ceux qui t'ont abandonnée à cette sombre existence. Ta main caresse la peau pâle de ton cou, presque rêveusement, venant parfois jusqu'à effleurer la chaîne de ton collier. Le reflet que te renvoie la psychée en fait aussitôt de même. Ce n'est que lorsque tu interceptes cinq doigts longilignes serrer fermement le chandelier posé sur la commode juste à ta droite que tu t'aperçois que tu t'aies saisi de l'objet. Et tu l'envoies violemment contre le miroir. Des centaines d'éclats de verre s'éparpillent sur le sol, tu les regardes, comme fascinée, puis relève lentement les yeux, apercevant ton propre visage, ciselé de toutes parts, totalement difforme. Un horrible sourire amer et ironique se hisse sur tes lèvres tandis que tu te souviens que tu n'es rien d'autre que cela : un miroir brisé, des bouts de verres éparpillés. Brisé et éparpillé, voilà qui résume bien l'état de ton cœur – peux-tu encore l'appeler ainsi ? –. Et tu n'as plus qu'une envie : t'écrouler. T'écrouler sur le sol, t'y rouler en boule et ne plus jamais te relever. Tu as juste envie de te glisser sur les pierres sombres et froides sous tes pieds, de te laisser dépérir, miroir brisé au milieu d'un millier de bout de verres éparpillés.
Mais on toque à la porte. C'est bien la seule exigence que tu as jamais eu auprès de la patronne : que personne n'entre dans la chambre qui t'a été attribuée sans ton consentement. Sortant de ta transe, tu te redresses, le dos bien droit, les épaules relevés, le regard droit et fier et tu croises celui reflété dans les fissures qui parsèment la glace. Et, doucement, tu vois la couleur de tes yeux changer. De cette teinte mystérieuse et fantastique, ils prennent délicatement l'éclat outremer d'une mer déchaînée bordant les falaises de ton enfance. Doucement, tes cheveux ternissent, se raidissent, perdant leurs boucles ébènes douces et sublimes au profit d'une crinière lumineuse, d'un blond aussi clair que les blés, auréolant ton visage, devenu plus doux quoique moins altier, te conférant une aura angélique plutôt que royale. Ta silhouette semble s'être allongée, ta poitrine raffermie, tes formes plus prononcées. Et, sous ton œil droit, est piqué un léger grain de beauté. Ce fut ton seul désir, à ton entrée ici, au Filet du Diable. Tu ne voulais pas qu'on sache, que l'on puisse dire que la dernière Lestrange, fille de l'honorable Thybalt, soit réduite à de telles insanités. Tu ne saurais tolérer qu'on salisse davantage ton honneur, celui de ta famille. C'est pour cela, et uniquement pour cela, que tu continues de te jouer des apparences, jonglant entre mille et un visages, cachant le tien derrière une peau plus halée, un regard plus commun, des traits plus délicats. Qui, qui saurait voir, derrière la paire d'yeux marron, le nez en trompette, les tâches de rousseurs, les cheveux blonds vénitiens, qui verrait Andromeda ?
« Entrez. », prononces-tu, finalement, de ta voix de basse. Un homme à la large carrure autre, te reluque longuement et tu gardes le menton bien haut, les yeux à demi-clos, le ventre rentré et la poitrine gonflée, comme si tu t'offrais volontiers à cet horrible examen qui relève de la torture. Il juge si tu lui conviens ainsi, s'il ne te veut pas plutôt rousse, plus grande, aux yeux plus clairs. Tu les détestes, tous ces hommes. S'ils se contentent de ce qu'ils ont avec les autres filles, ils ne sont que d'éternels insatisfaits avec toi, demandant toujours plus ou moins ; toujours différente. Jamais toi-même. Ses yeux lorgnent un peu trop longtemps sur tes seins, aussi, tu te racles la gorge, attirant l'attention du bonhomme qui remonte son regard jusqu'à accrocher le tien, sans avoir même la décence d'être gêné d'avoir été surpris ainsi. Pourquoi le serait-il ? Qu'es-tu, si ce n'est une fille de joie, de petite vertu, tout juste bonne à les soulager ? Tu n'es rien, Rhaenys. « Vous voulez que je change quelque chose, peut-être ? » Et c'est dur, tellement dur de ne pas lui hurler de s'en aller, aussi vite qu'il est venu, de lui cracher que tu vaux mieux que ça, mieux que lui. Le ton poli suinte d'hypocrisie à tes oreilles mais lui n'y est nullement réceptif. Au contraire, ses yeux s'égarent une nouvelle fois un peu partout, ton visage, tes épaules, tes hanches. Puis il revient à tes yeux. « Non, cela ira ainsi. » Et d'un simple signe de tête, il t'indique le lit d'un bref signe de tête, tu obéis aussitôt et t'assois sur les draps, les jambes longilignes qui pendent dans le vide. Il fond alors soudainement sur toi et, le pire, c'est que l'idée même de résister ne percute plus ton esprit depuis bien trop longtemps déjà. Et, avant de choir sur le lit, tu croises ton regard, dans la psychée brisée. Un frisson te parcourt lorsque tu constates que ton esprit torturé ne voit que ta réelle apparence dans le reflet, te narguant du regard, un terrible sourire diabolique hissé sur les lèvres. Foutue malédiction qu'est ton don de métamorphomage.
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PROFESSION : seigneur suzerain des Hautes-Terres, fondateur de Hogwarts
LOCALISATION : chevauchant au vent
ALLEGEANCE : plus que tout à sa famille
| Sujet: Re: ∞ demande de particularités magiques Mer 30 Jan - 17:09 | |
| J'ai tout lu ! :brill Et je dois dire que j'apprécie énormément ce que tu nous offres ! On voit vraiment l'importance du don pour Rhaenys et l'impact sur sa vie. J'aime tes explications et les éléments donnés, on voit que tu es motivée donc pour moi, ça sera un grand oui puis ton test rp est parfait |
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PROFESSION : fille de joie.
ALLEGEANCE : à elle-même, pour l'instant.
| Sujet: Re: ∞ demande de particularités magiques Mer 30 Jan - 20:51 | |
| bonsoir
Âge du sorcier + 27 ans. Particularité désirée + Lycanthropie. Motivations + Alors, dès mon arrivée ici, j'ai voulu faire une Greyback parce que, les loups-garous, ça gère. Non sérieusement, c'est une particularité qui peut être très intéressante à développer. Le côté meute des Greyback, leur brutalité, et leur alliance avec les Black promettent des trucs sympas en rp, et des liens originaux Impact sur la vie de mon personnage au quotidien + Un très fort impact, puisque les Greyback sont un cas particulier, disons. La meute attaque des villages, moldus comme sorciers, à chaque pleine lune. C'est d'ailleurs un problème épineux pour les Black. Solvej, elle, le vit bien. Ce mode de vie lui plaît. Pour le moment du moins, aha. Tout ça pourra peut-être évoluer au cours du temps. Détails à communiquer en plus + écrire ici Depuis quand la particularité est présente ou acquise + Depuis la naissance, vu que ce gène est héréditaire dans la famille.
Test RP pour expliquer la vie de votre personnage et son don (400 mots minimum) + extrait de ma fiche. La nuit s'élance à l'assaut du village, embrasant la citadelle d'un linceul opaque. Les jérémiades emplissent l'air, si bien qu'on saurait presque en effleurer les grimaçants relents. La peur est omnisciente, elle s'infiltre, insidieuse, jusqu'au plus complet engorgement du village ; il suffoque et pâlit sous les coups maculés. Les loups s'avancent. Les loups ont faim. Les loups n'auront pitié. Sur les méandres des ruelles, gisent des cadavres à l'allure douloureuse, faussés en des positions incongrues. Des filets poisseux ruissellent des moignons aux lourds remugles putrides, toutefois encore à vif, lacérés sans ménagement. Les chairs, vaguement voilées par quelques bribes de peau, pendent par lambeaux ; les pavés vermeils exhalent la sueur et l'angoisse. La louve se tient là, l'échine voûtée sur un corps inanimé, brassant avec véhémence la dépouille fétide, labourant le muscle, s'enivrant du sang. Son poil rêche danse légèrement sous la morsure du vent nocturne, son ombre oscille, les contours rendus incertains par les lueurs nocturnes. S'imbibant toute entière des flots de sang, elle sent sa bestialité s'étancher peu à peu. Le lendemain, quand l'aube poindra, la louve se taira finalement et la part d'humanité reprendra le dessus. Il en a toujours été ainsi au sein de la meute. Chaque mois, quand l'astre diaphane s'emplit, les loups s'éveillent à nouveau et les villages ploient. Elle relève la tête, ses yeux caves, hagards, scrutent les bâtisses alentours. Le village semble fantomatique, embrassé par la nuit. L'assaut des Greyback n'aura laissé que peu de survivants. Les loups repartiront bientôt, la besogne accomplie, la panse pleine. Cependant, Solvej hume l'air, se redressant à nouveau avec méfiance. Une présence humaine se cache non loin. Une enfant, tapie à l'ombre d'une masure, souffle sourdement, refoulant tant bien que mal la panique grandissante. Elle épie les silhouettes lupines, guette avec malaise l'instant de leur départ, pour pouvoir sortir, et espérer survivre. Ses chances sont moindres. La louve l'a flairée. Elle s'approche en silence, son pas assourdi, feutré, soulève des volutes ocres des pavés poussiéreux. L'enfant croit hurler, mais le cri reste suspendu au fond de sa gorge nouée. La créature lui fait face, la toise d'un regard anthracite. La fillette recule, trébuche, apeurée ; elle implore la grâce et le pardon, supplie. Alors la bête s'arque de toute sa charpente, les pattes fléchies, le muscle tendu, entrouvre la mâchoire.
Le loup s'avance. Le loup a faim. Le loup n'aura pitié.
Dernière édition par Solvej Greyback le Jeu 31 Jan - 18:34, édité 2 fois |
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PROFESSION : « Dame de la maison Rosier » ; à son grand déplaisir.
LOCALISATION : « Monts Brumeux » ; fief d'Aberdeen sous la suzeraineté des Slytherin.
ALLEGEANCE : « Rosier & Slytherin » ; plus aux derniers qu'à sa propre famille.
| Sujet: Re: ∞ demande de particularités magiques Mer 30 Jan - 20:56 | |
| B'soiiiir Âge du sorcier + 23 années. Particularité désirée + Chuchoteur. Motivations + Je me suis prise de passion pour votre description. Les racontars, les chuchotements au sujet de ces sorciers capable de jeter des sorts sans un mot, ça me fait penser à cette période où les femmes qui soignaient par les plantes étaient regardées d'un oeil bizarre. Bon, on est dans le domaine de la sorcellerie et la chose est respectée, mais dans le caractère d'Ariann, je trouvais intéressant d'intégrer un côté plus "sombre" à la pratique. Une femme bien aux motivations particulières. Et ça s'ancre dans la soif inconditionnelle de pouvoir , de savoir, qu'elle a dans le coeur. Une soif dont découle le besoin de reconnaissance, pour ne pas être que "la fille Rosier". Impact sur la vie de mon personnage au quotidien + Ce fut un travail fastidieux, de longue haleine. Depuis toujours, Ariann désire gagner la reconnaissance de ses parents. Ce n'était pas une petite fille distinguée ayant pour seule passion les parures. Elle ne se pliait que trop mal à l'autorité de sa mère, et surtout, elle était à l'image de ses frères, plutôt rêveuse bagarreuse que future épouse convenable. Quand elle n'arrachait pas quelques cheveux à ces derniers, elle les bousculait, les victimisait un peu avec de vilaines farces. Bref, pas terriblement glamour et encourageant. Mais elle avait aussi cette volonté de montrer que, non, une femme n'était pas faite que pour le mariage. Quand elle eut acceptée d'être considérée comme telle, s'entend. A ses yeux, elle devait être libre. Être au crochet d'un "mââââle", très peu pour elle. Conséquence : elle se plonge dans les parchemins divers et variées, et au lieu de commander des bijoux, elle demandait de quoi lire, écrire, tout ça. L'acquisition de sa baguette ne fit que grandir ses désirs. C'est à partir de là, qu'elle nourrit la chimère d'être plus douée que n'importe quel homme répertorié chez les Rosier. Chose étrangement innée, elle noue un lien puissant avec cet objet de bois dont elle refuse de se séparer, et quiconque y touchait souffrait ses colères - adieux les tympans. Sa mémoire l'aida, dans un premier temps, à bien mémoriser les techniques théoriques de maniement de la magie, et chaque sortilège appris fut minutieusement travaillé. Une obsession, vous dis-je. Au point que les nuits d'insomnie, elle s'acharnait à travailler. Pas de Poudlard mais les connaissances de ses ancêtres. Le premier sort lancé sans un mot fut un accio, plutôt basique, mais ce fut à sa plus grande surprise. Elle le pratiquait si souvent qu'il ne lui fut pas même nécessaire de le souffler. C'était utile pour attirer diverses plumes et pots d'ancre trop éloignés. Vinrent naturellement Lumos et Nox, qu'il fallut prononcer à voix nette et claire, pour progressivement murmurer, et enfin n'avoir plus à entrouvrir les lèvres. La belle rouquine intégra ainsi le système, sans l'évoquer. Nul ne devait être informé avant qu'elle n'en ait une maîtrise convenable, et jusque là, elle jouerait de la magie de façon conventionnelle. Volonté de fer et assurance permirent l'atteinte de l'objectif. Jeune et rebelle, elle insistait jusqu'à la réussite. C'était dans son caractère. Et la petite fille aux airs de garçon turbulent se fit belle plante redoutable. Ariann dévoile, par ailleurs, à peine cette faculté. Patiente, elle préfère l'effet de surprise, et ce n'est encore que rumeur, que ce talent étrange de ne souffler mot pour agir. Détails à communiquer en plus + J'ai conscience qu'Ariann soit jeune, cependant pour l'évolution, je pense qu'on peut y trouver un impact intéressant, notamment sur cette façon qu'elle aura de repousser les alliances, se montrer un brin insolente, peut-être trop fière au goût de beaucoup. Pour les liens surtout, je voyais une influence sur ce caractère de feu qui contrarie pas mal les Rosier mais fait le charme d'Ariann malgré elle. Différente par volonté, en quelques sortes, elle n'y aurait pas vu d'avance les possibles regards jaloux ou malveillants, qui pourraient l'estimer trop "noire" pour avoir une faculté pareille en toute légitimité. Je sais pas si vous voyez le genre... mh. Un peu chat noir de sa branche, si vous voulez xD Depuis quand la particularité est présente ou acquise + Maîtrise acquise à 22 ans, elle en a aujourd'hui à peine 23. Test RP pour expliquer la vie de votre personnage et son don (400 mots minimum) +Tu as cette peur d’échouer. Cette angoisse insurmontable. « Nox. » Un chuchotement ; la lumière s’éteint dans ce qui pourrait se rapprocher d'un grenier, par anachronisme.. « Lumos. » Elle se rallume, mais tu es insatisfaite. Du haut de tes quinze ans, tu désires plus que tout parvenir au silence le plus total. Ce silence que ton frère aîné dit inaccessible. Tu n’es qu’une enfant, voyons, entends-tu à longueur de temps, et cela te hérisse. Tu ne veux pas être une gamine. Tu veux ancrer ton nom dans l’histoire, être l’une des grandes sorcières de ton temps. Tu te refuses à n’être qu’une reproductrice vendue pour un nom, un sang. Oh, tu es fière de ton sang, il n’y a aucun doute, mais c’est de ta personne que tu veux que l’on soit fiers. Pas seulement Rosier, tu veux être Ariann. Simplement Ariann. « Nox » ; rien. Tu as beau te concentrer sur ce mot, tu ne fais pas suffisamment le vide pour qu’il se passe quelque chose. « Nox » ; encore. Tu insistes. Tes doigts fins sont accrochés autour du bois de Charme formant ta baguette. Agacement et déception se profilent à l’horizon. « Faut-il donc que je vende mon âme au Malin ?! » L’objet heurte l’un des coussins du vieux canapé poussiéreux. Nul ne vient jamais dans cette pièce, sauf lorsqu’il faut déterrer de vieux contrats. Ce n’est qu’un amoncellement de parchemins, de plumes usagées, de fioles périmées. Le chaudron rouillé trônait au centre, entre ton étalage de paperasse. Tu étudies tant que tu finis par vivre dans ce lieu reclus, séparée des tiens durant des heures pour parfaire ta magie, pour acquérir une technique irréprochable. N’aurais-tu pas du sang de Ravenclaw ? C’est le désespoir de ton père, de ne pas te voir te conduire comme les autres femmes de la lignée. De belles femmes distinguées, opportunistes et droites. Tu fais figure de chat noir, d’ombre parmi les roses sombres. On ne peut pas dire que les Rosiers ont blanche réputation, mais tout de même, que dirait-on à te voir disparaître ainsi ? Ils en vinrent même à se demander si tu n’avais pas de la visite, là-haut. Mais rien. Pas un autre souffle que le tiens.
Des pas dans l’escalier. Tu entends le bois craquer. Précipitamment, tu attrapes ta baguette. Une feuille s’envole. Tu ne devrais pas être là. « Maîtresse, êtes-vous là ? » Tu te dissimules dans le coin derrière le lourd meuble contenant quelques armes entreposées, usées par le temps, elles aussi. « Nox » ; la lumière s’éteint. Ton cœur, lui, tambourine contre ta cage thoracique. Tu y es parvenue. Tu comptes désormais l’accio, et ce cher Nox dans ta liste d’acquis. La joie manque l’emporter sur ton effacement, et le regard perçant de la servante semble s’arrêter dans ta direction. « Madame votre mère vous cherche. Êtes-vous à cet étage ? Les invités arrivent. » Sursaut intérieur. Tu avais oublié le dîner ! Ton père allait être furieux. Mais ton apprentissage n’avait pas de prix, pas même celui des relations entre les terres de tes alleux. Il fallait sans doute encore discuter de ton mariage. Satané mariage ; qui avait décrété qu’il fallait réfléchir si jeune à ces alliances. Tu savais, par ailleurs, que ton attitude mènerait toujours à l’échec de ces discussions. Tu n’étais pas la plus jolie, pas la plus distinguée, ni la plus docile. Tu te conduisais comme l’égale de tes frères, tout pour choquer. La première fille devait se montrer digne. Toi, tu n’entendais rien de ces remarques. « Lumos. » ; un murmure. Il te faudrait faire le vide, plus tard. Tel était le secret : ne t’ancrer que sur ton objectif, ne pas te laisser distraire. Ne pas plonger dans les émotions négatives ou colériques.
Concentration. Le mot d’ordre. Qu’importe le dîner, tu ne songeais qu’à l’après. Qu’à essayer encore, et encore. C’était si fascinant, la magie. Tout ce qu’un sorcier pouvait faire, au-delà des limites avérées. Serait-il possible de découvrir d’autres aptitudes, encore inconnues ? Surexcitée, tu t’extirpais de ta cachette une fois seule, et tu filais directement vers ta chambre où tu enfilais à la hâte la première robe trouvée. Dans ta chevelure de feu tu glissais une rose, et après avoir quémandé l’aide de la seconde petite créature servant ta famille, tu parvenais, essoufflée, dans le salon. « Pardonnez mon retard, père. Je n’ai pas vu le temps passer. » « Encore ces rêveries stupides. Elles te perdront, Ann. » « Vous m’avez initié à la magie vous-même ! » « Il suffit. Je t’enseigne ce dont tu as besoin, et je suis satisfait de ton niveau plus que louable, mais il est des limites en tout, chère enfant. » « Nul obstacle, nulle limite, père. Et je ne suis plus une enfant. »
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PROFESSION : seigneur suzerain des Hautes-Terres, fondateur de Hogwarts
LOCALISATION : chevauchant au vent
ALLEGEANCE : plus que tout à sa famille
| Sujet: Re: ∞ demande de particularités magiques Jeu 31 Jan - 18:02 | |
| Je vais dire oui pour vous deux Vous avez, toutes les deux, une très bonne plume et des explications solides. On voit l'impact sur votre personnage ! J'ai adoré vous lire |
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LOCALISATION : Partout où on aura besoin de ses... services, mais il rôde régulièrement dans la Vallée aux Loups
ALLEGEANCE : À celui qui paie le plus cher
| Sujet: Re: ∞ demande de particularités magiques Jeu 31 Jan - 18:25 | |
| Âge du sorcier + Trente-trois ans Particularité désirée + Hybride lycanthrope Motivations + C'est dans le scénario Sekhmet a mis cette particularité dans le scénario de Cirdàn et je dois avouer que c'est un des éléments qui m'ont fait totalement accrocher à celui-ci. On sait que les lycanthropes ne donnent pas nécessairement des lycanthropes, à preuve Teddy Lupin, et l'idée de cette hybridation cruelle, sauvage, est géniale : elle donne au personnage une animalité omniprésente qui me sera très plaisante à jouer et qui va emmener, je pense, de bonnes possibilités, avec tous ces animagus... ainsi que de bons ressorts dramatiques quand ce sera la pleine lune J'aime jouer des personnages un peu limite, presque fous, sanguinaires et cruels, donc ce sera une façon de plus de me glisser dans la peau de ce genre d'être. Impact sur la vie de mon personnage au quotidien + Cirdàn est un mercenaire, qui a été élevé par des crieurs de lune, et il a donc de très bonnes capacités de survie et d'endurance. Son sang lui confère, à cela, des sens surdéveloppés, ce qui l'aide beaucoup pour la traque. Celui-ci lui donne malheureusement aussi un tempérament cruel, sanguinaire, qu'il exprime beaucoup dans son métier et qui atteint un pic à la pleine lune (période de trois jours où généralement, il évite de croiser des gens, pour ne pas leur sauter à la gorge). Parallèlement, on pourrait aussi dire que ça explique son côté solitaire, indépendant, et sa jadis monogamie, puisque les loups le sont (mais sa compagne est décédée, donc c'est la tristitude). Pas de transformation à la pleine lune, pas d'yeux jaunes, pas de pilosité accablante. Il a peut-être les crocs un peu trop développés, par contre, et la voix comme un jappement, un grognement, mais ce n'est pas majeur. Il vit cette particularité à plein temps, il sait qu'il est animal, au fond de lui, dans chacune de ses réactions, et cette nature, il l'a épousée depuis longtemps, mais il maudit aussi souvent son « sang de bête », comme il dit, puisque cela rend sa magie instable, ainsi que son caractère. Détails à communiquer en plus + ... non ? Depuis quand la particularité est présente ou acquise + La naissance. Test RP pour expliquer la vie de votre personnage et son don +Crieur de lune. Il avait pensé suivre cette voie - ses parents lui avaient tout montré de leur métier, et il aimait tout de celui-ci. Partir, voyager, parcourir les monts et vallées, survivre, apprendre, observer. Plus que tout, il aimait les loups. Il aimait les observer la nuit et le jour, il enviait ces créatures agiles qui l'attiraient, il aimait leur pelage fourni et leurs yeux où une intelligence insoupçonnée par l'homme brillait. Oui, il aimait les loups. Ils n'étaient que de passage dans la Vallée aux Loups. La pleine lune était cette nuit et il était agité depuis déjà la veille, réagissait trop promptement au moindre regard, évitait tout contact extérieur. Ses parents ne disaient rien, comme tout, ils attendaient que cela passe, toujours avec cet étrange regard. Comme s'ils savaient quelque chose que lui ne savait pas, du haut de sa dizaine d'hivers, quelque chose qu'ils voyaient luire dans le regard clair et agressif de leur fils. Ils savaient, oui, et ils attendaient seulement... le bon moment. Ce bon moment était ce soir. Ils lui avaient donné la charge et l'immense honneur d'aller pister le loup. D'aller dénicher les traces des lycanthropes et d'ainsi définir les itinéraires de ceux-ci dans la Vallée, pour mieux prévenir les villages avoisinants. Ils n'étaient point près du fief des Greyback, et pourtant, ces créatures étaient partout. Cirdàn était parti avec sa seule épée comme arme, bravant la pleine lune sans peur. Les lycanthropes viendraient à lui et il les tuerait, il les tuerait de son épée avant de s'agenouiller devant leur majesté et leur beauté. Il n'en avait jamais vu, mais il les imaginait immenses, majestueux, respectables, aussi menaçants que magnifiques. Dans la forêt, que son sifflement. Il entendit les sons. Évidemment. Il avait toujours eu l'oreille affûtée, plus que celle des autres, le regard plus vif, plus éclairé, les réactions plus rapides. Il l'avait entendu arriver, il avait sûrement senti son odeur depuis longtemps et il attendait seulement le bon moment. Cirdàn s'immobilisa au milieu de la forêt – son sang battait fort à ses tempes. Il se retourna doucement et fit face à la Bête. Ses yeux s'ouvrirent devant elle, jusqu'à absorber la moindre nuance de ces yeux, de ce pelage, de cette créature terrifiante qui tuait les hommes. Une créature aux dents tranchantes desquelles coulait du sang, du sang frais, du sang odorant dont le parfum frappait ses narines, au grognement menaçant, sourd, profond, et à la beauté inimaginable. Le grognement se tarit. Il ne sortit pas son épée. La Bête s'approcha de lui. Elle n'était que silence et lui également, et où il aurait dû avoir de la peur, de la crainte, il n'y avait que fascination. Il n'y avait que leurs deux regards qui se rencontraient, se connaissaient, se reconnaissaient. Cirdàn respirait avec force, il en avait mal aux poumons, et doucement, il avança la main pour caresser le museau du loup-garou. Il pourrait se faire mordre, se faire attaquer, mourir là. Il avança la main jusqu'à effleurer le sang qui barbouillait les babines de la Bête, jusqu'à s'en mettre plein la main, jusqu'à recouvrir sa peau pâle de ce liquide écarlate qui lui semblait en cet instant une des plus belles choses au monde. La Lune, la Bête et le Sang. Il ramena sa main à lui, contempla le liquide qui glissait le long de ses doigts, et le goûta finalement de sa langue. Oh. Il n'avait jamais rien goûté d'aussi bon. Un nectar aussi parfumé dont le goût explosait dans sa bouche, dans chaque parcelle de son être. Le loup-garou se jeta sur lui et c'est in extremis qu'une épée le repoussa, celle de son père qui veillait, chassant la Bête qui hurlait. Non pas à la lune, ni à la rage, ni même à sa blessure superficielle, mais au frère. Il était Frère de ce loup. (c'est un peu ésotérique, en fait, mais c'est la découverte qu'il a été adopté et qu'il est hybride )
Dernière édition par Cirdàn McField le Dim 3 Fév - 18:47, édité 2 fois |
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PROFESSION : seigneur suzerain des Hautes-Terres, fondateur de Hogwarts
LOCALISATION : chevauchant au vent
ALLEGEANCE : plus que tout à sa famille
| Sujet: Re: ∞ demande de particularités magiques Ven 1 Fév - 15:51 | |
| Bon, pour moi, ça sera un oui J'aime tes motivations et l'impact sur Cirdan ! De plus, tu as une belle plume et des mots justes. C'est bien adapté, donc oui |
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PROFESSION : fondatrice de poudlard, dame de la maison ravenclaw, suzeraine des terres d'écosse et dame de liverpool
| Sujet: Re: ∞ demande de particularités magiques Ven 1 Fév - 17:38 | |
| Ce sera un oui aussi et pour les même raisons |
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PROFESSION : seigneur de la maison ravenclaw, suzerain des terres d'écosse et sire de liverpool.
ALLEGEANCE : pour l'instant à moi-même, faute de mieux.
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PROFESSION : Seigneur de Birmingham, héritier du Pays de Galles, étudiant à Hogwarts
ALLEGEANCE : A sa famille uniquement
| Sujet: Re: ∞ demande de particularités magiques Lun 4 Fév - 12:13 | |
| Âge du sorcier + vingt ans. Particularité désirée + Occlumens en apprentissage Motivations + c’est écrit dans le pv ? Sans cela, je pense surtout que ça donne une profondeur au personnage, qui veut certes honorer sa famille et lui obéir, mais qui refuse de n’être qu’un pantin sans pensée propre. Des sacrifices, oui, mais il y a des limites, il voudrait au moins pouvoir faire ses choix et sacrifices parce qu’il le décide et non par crainte des représailles de son père parce qu’il contrôle ses moindres pensées. Il se sent envahi jusque dans sa faculté de décision, et dans ses sentiments. Tout le monde a droit à une vie privée (article 9 du code civil les études de droit ça vous poursuit que voulez vous ). De plus, pour lui qui n’a pas la mainmise sur son destin, c’est comme revendiquer une seule et unique liberté : celle de penser en paix. Impact sur la vie de mon personnage au quotidien + Cela a un impact non négligeable sur plusieurs points : déjà, même s’il est sorcier depuis des générations, que son sang est pur et qu’il a reçu une éducation magique avant l’existence de Hogwarts, l’accent a été mis sur l’art de la guerre. Il est donc plus adroit à l’épée qu’à la baguette et quand il utilise l’arme magique, c’est pour attaquer. Le fait d’apprendre un art aussi difficile que l’Occlumancie le pousse à aller puiser au fond de lui des pouvoirs qui lui sont presque inconnus. L’apprentissage sera donc véritablement difficile et exténuant, et pour lui qui est habitué à tout réussir et à être le meilleur, c’est d’autant plus agaçant et frustrant. Et ça va l’obliger à faire un travail sur lui, introspectif, lui qui est surtout un homme d’action (avec ou sans baguette). Il s’agit donc de développer une facette de sorcellerie, et un trait de caractère qui n’est pas naturel chez lui (donc, super intéressant à jouer en fait). Ensuite, avoir cette particularité (en cours d’apprentissage), permet de développer une relation intéressante avec son père, la peur d’être découvert, la peur rien que d’essayer l’Occlumancie par crainte de se trahir, être découvert et lutter… Bref, les discussions avec son paternel ne sont plus ce qu’elles étaient. Et enfin, au fur et à mesure, il va se sentir plus libre de penser ce qu’il veut, de ressentir ce qu’il veut (de faire des bêtises ) et avoir cette sensation qu'il contrôle au moins une chose dans sa vie. Détails à communiquer en plus + J’insiste sur le fait qu’il s’agit d’un apprentissage (même si vous le savez parce que c’est vous qui avez écrit le pv ), et il n’en est qu’aux balbutiements. Il lui faudra du temps pour maîtriser complètement la base de cet art (bloquer l’accès à ses pensées) et bien plus encore pour le maîtriser tout à fait (faire le tri dans ce qu’il veut bien faire savoir, tout en cachant des choses, et tout ça, sans jamais qu’on se doute de quoi que ce soit). Depuis quand la particularité est présente ou acquise + Il s’est décidé à apprendre l’Occlumancie il n’y pas très longtemps, à dix-huit ans, les intrusions de son père se faisant plus fréquentes (plus il avance en âge, plus son père a besoin de le contrôler, normal je dirais, il devient plus fort, va bientôt prendre la suite, avoir des responsabilités, se marier…) et il s’est renseigné pour trouver une personne maîtrisant cet art (ce qui fut difficile évidemment, mais je ne vais pas développer l’histoire de leur rencontre, sinon ça va être long et en fait, on s’en fout ici XD). Pour le moment, il parvient à bloquer l’accès à ses pensées de façon irrégulière, lorsqu’il est très calme et ne ressent aucune pression (autant dire que pour le moment, avec son père, il n’y arrive pas des masses). Mais il progresse et s’entraîne fréquemment. Test RP pour expliquer la vie de votre personnage et son don (400 mots minimum) + Le vide. Ne penser à rien, ne rien ressentir. Un trou noir. Une respiration lente. Prendre conscience de chaque parcelle de son corps, pour les maîtriser toutes ; pour finalement contrôler l’essentiel. Dans cet état second, une voix lointaine lui ordonna d’ouvrir les yeux. C’est à peine s’il l’entendit, le son semblant provenir d’un rêve. Puis il releva ses paupières. Tout se fit soudain plus réel, sans le vouloir, son esprit recommençait à travailler. Le vent frais dans les feuilles annonçait l’arrivée de l’automne, l’odeur ambiante révélait la pluie récente venue humidifier la terre, les faibles rayons de soleil filtrant au travers du feuillage laissaient penser que l’après-midi touchait à sa fin. Une forêt. Un homme en face de lui, baguette en main, ses yeux le scrutant. La raison de sa présence. « Non… vide ton esprit… » Il sentait déjà l’angoisse poindre au creux de son estomac. Mais il ne devait pas l’écouter, il devait se concentrer. Mais elle était si forte… il allait échouer, encore… « calme-toi, respire… ne pense à rien». « Legilimens ! »Trop tard. Une succession de souvenirs afflua dans sa tête, scènes comme sentiments. Une plaine, celle des alentours de Brimingham, un cheval au galop, cet enivrant sentiment de liberté. Un mannequin de bois sur lequel il s’acharnait. Le regard d’acier de son père, le perçant de part en part. Cette suffocation qu’il ressentait à chaque fois, et cette impuissance à être celui qu’il était réellement. Le doux visage de Rhéa, sa mère et cet amour inégalable. Lyra riant aux éclats, à douze ans. Cette colère lorsque son père lui annonça ses fiançailles… Il devait empêcher l’homme d’aller plus profondément fouiller sa mémoire, il devait réagir, il ne pouvait le laisser violer son intimité. Mais ce sentiment d’impuissance le submergea, le même qu’il ressentait en présence de son père. « Non ! » Sentant une rage monter de ses entrailles, il poussa soudain un cri rauque et réussit finalement à couper le contact visuel. Il avait échoué, encore, échouerait-il toujours ? Il était si en colère contre lui-même qu’avisant une pierre sur le sol, il frappa dedans avec son pied, envoyant la roche à quelques mètres plus loin. Il dégaina son épée et enfonça le plat de la lame dans un chêne voisin. Quelle frustration ! « Priam, conservez votre calme, ce n’est pas ainsi que vous parviendrez à votre but. »Le jeune homme de dix-huit ans posa un regard assassin sur le sorcier d’âge mûr qui avait prononcé ces paroles d’un ton serein. Chose aisée que de dire cela ! Il avait besoin de faire sortir sa rage, il n’était pas habitué à échouer de si nombreuses fois. « Il m’est impossible de ne serait-ce qu’entrevoir le but à atteindre ! Expliquez-moi comment pourrais-je ne pas me laisser emporter ! »Lentement, l’homme s’approcha du jeune seigneur Malfoy et finit par poser ses deux mains sur les épaules de son apprenti. L’air calme et le regard pénétrant de cet homme détendirent quelque peu Priam. « Jeune seigneur, l’Occlumancie est un art difficile que personne ne peut maîtriser en quelques jours. Patience et travail régulier seront vos meilleurs alliés. Cet art demande une toute autre force que celle que vous avez coutume d’utiliser. L’apprentissage sera dur, autant qu’il sera long. Et à chaque fois que vous vous sentez l’envie de baisser les bras, rappelez-vous pourquoi vous avez voulu apprendre à maîtriser l’Occlumancie. »Priam sentit sa colère redescendre aussi vite qu’elle était montée. Les sages paroles de son maître le firent réfléchir, et son regard se fit plus déterminé après avoir pensé à son père et son remarquable talent de legilimens.
Juste une petite chose qui n'a rien à voir (enfin si, mais bref). Est-ce qu'il y a pas un conflit avec le concept des chuchoteurs ? Parce que j'ai lu et relu et re relu, et si j'ai bien compris, il n'y a que les chuchoteurs (qui sont très rares en plus) qui ont la faculté de lancer des sorts sans prononcer la moindre parole. Sauf que, que ce soit pour la legilimancie ou l'occlumancie, c'est un peu obligé qu'ils ne prononcent pas la formule, sinon, leur particularité ne leur est d'aucun utilité, puisqu'ils se trahissent en lançant le sort. Je ne sais pas si je suis très claire dans mes remarques, mais c'est juste pour dire que les legilimens et les occlumens sont quelque part des chuchoteurs (mais juste pour ce sort en particulier, et pour aucun autre), non ? |
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PROFESSION : seigneur suzerain des Hautes-Terres, fondateur de Hogwarts
LOCALISATION : chevauchant au vent
ALLEGEANCE : plus que tout à sa famille
| Sujet: Re: ∞ demande de particularités magiques Mar 5 Fév - 10:41 | |
| Ca sera un oui pour moi Je pense que l’apprentissage de l'Occlumancie peut être très bien pour Priam et son évolution. |
| | | | Sujet: Re: ∞ demande de particularités magiques | |
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| | | | ∞ demande de particularités magiques | |
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