amalya ∞ fear of a name increases fear for the thing itself.

**PARCHEMINS** :

amalya black,

aussi fort que la roche

identité du sorcier & secrets cachés

nom ∞ Elle porte le nom de Black, la très noble et très ancienne ; nom symbole de majesté et de grandeur dans la noblesse magique, c’est la maison des seigneurs de la vallée des loups. prénoms ∞ Amalya. âge ∞ Elle est âgée de trente ans. nature du sang ∞ Son sang est on ne peut plus pur, évidement. profession ∞ Elle est dame de la maison Black et par conséquent dame de la Vallée des Loups. classe sociale ∞ Elle est issue de la noblesse anglaise. allégeance ∞ Son allégeance va en tout et pour tout à son frère ainé, Arès, puis à la maison Black de façon générale. baguette ∞ Amalya possède une baguette faite en bois de frêne, contenant un crin de licorne et mesurant ving-quatre centimètres. C’est une baguette rigide et droite.épouvantard ∞ Amalya craint plus que tout de voir son frère se faire tuer sous ses yeux. union ∞ N’étant guère féconde, la Dame de la maison Black n’est unie à aucun homme, bien qu’elle ai été l’épouse de Lord Snape qui la rejetée. patronus ∞ Douce et discrète comme une colombe, c’est ainsi que cet oiseau de paix la représente sous la forme de son patronus. secret ∞ Amalya est inapte à concevoir un enfant.

sous la cape et le chapeau

personnalité ∞ Amalya est une femme plutôt douce, pacifiste et d’une nature prévenante et agréable qui n’aime vraiment pas ce qui touche à la guerre. Pourtant, elle n’en est pas moins une femme courageuse et faisant preuve d’une loyauté sans faille, en particulier envers son frère qu'elle suivrait vers au bout du Monde les yeux fermés s'il le fallait. Néanmoins, Amalya n’est que très peu méfiante et accorde facilement sa confiance, une naïveté exacerbée qui attire parfois bien des ennuis à la Dame de la Vallée aux Loups, mais elle n'y peut rien, ne voyant pas le mal chez les personnes, même si eux même nourrissent de sombres dessins. Colérique et jalouse, elle ne se laisse pas faire, lorsqu'en revanche sa confiance a été écornée, elle se montre redoutable. Un autre trait marqant de la personnalité d'Amalya est le mal qu'elle a à contrôler ses émotions. Il est ainsi relativement facile de deviner ses pensées tant son corps les trahissent. arsenal ∞ En plus de sa baguette magique, Amalya a en sa possession un arc taillé dans un bois de bouleau ouvragé, qu’elle accompagne d’un carquois emplis de flèches à l’empennage teinté de bleu et de noir, couleurs de la maison Black. Bonne épéiste, elle possède également une épée courte en acier. autres informations ∞ Si Amalya porte le fardeau de ne pas être féconde, portant ainsi l’anathème et la honte sur son nom, elle comble ses faiblesses de par le maniement des armes non magiques, l’arc et l’épée notamment, auxquelles elle excelle. Elle est ainsi très capable de se défendre seule (∞) Elle aime monter à cheval, possédant une jument à la robe grise pommelée nommée Brume (∞) Elle est très proche de ses neveux, s'occupant de la plus jeune, Mellony comme si c'était sa fille tandis qu'elle est toujours là pour écouter les confidences de l'ainé, Rheagar (∞) Petite déjà elle était animée de cette nature prévenante et douce, ainsi elle ramenait souvent à sa gouvernante des oisillons tombés du nids et autres chats blessées qu'elle tentait de sauver (∞)

+ que penses-tu de la création de l'école de sorcellerie Hogwarts ? (question pour tous) C’est une bonne chose, elle permettra aux sorciers et sorcières d’apprendre à maitriser leurs pouvoirs et à les utiliser, pour elle il s’agit véritablement d’une véritable aubaine pour tous les jeunes sorciers. Cependant Amalya rejoint quelque peu l’opinion familiale quant au fait de n’ouvrir les portes de l’école qu’à la noblesse, c’est un honneur que d’intégrer les murs ce cette école, et une fierté qui ne devrait être réservée qu’à une certaine élite de sorciers.
+ quelles sont vos conditions de vie ? (question pour tous) Amalya est née dans tout ce qu’il y a de plus noble. Dame de la maison Black, elle est une enfant des soieries, née dans la grandeur et la richesse de la maison de la Vallée aux Loups. C’est ainsi dans des conditions de richesse absolue, sans jamais manquer de quoi que ce soit qu’a grandi Amalya, et toujours aujourd’hui elle vit dans le luxe que son rang lui permet.
+ comment percevez-vous la magie ? La maitrisez-vous bien ou êtes vous un novice dans cet art ? (question pour tous) Amalya est plutôt douée en matière de magie, en effet élevée depuis toujours dans une lignée de sorciers, elle a appris très jeune le maniement de la baguette et des sortilèges à l’instar des sorciers de bonne famille, ce qui en fait une excellente sorcière bien qu’elle maitrise mieux les armes non magiques, telles que l’arc et l’épée. Elle préfère par ailleurs ces armes à la magie même si elle n’en est pas moins fascinée par les merveilles que permet la magie.
+ que pensez-vous du conflit qui a éclaté entre la maison Slytherin, la maison Black et la maison Gryffindor ? Êtes vous concerné par cette guerre qui se profile ? (question pour tous) Amalya n’est pas vraiment emballée par ce conflit, pour elle il y a mieux que la mort et le sang pour régler tout ça. D’une nature douce et prévenante, elle ne juge pas la guerre comme un moyen d’arriver à ses fins, ne pensant pas que toute quête de pouvoir ne mérite tant de larmes et de douleurs. Pourtant elle respecte les décisions de son frère, et le soutiendra dans cette guerre. Quoi qu’il arrive.
+ quelle importance donnez-vous au sang ? question pour tous) Amalya pense évidement que le sang et sa pureté est important, aussi douce soit-elle, elle n’en reste pas moins une Black dans le cœur et dans chaque part de son âme, élevée dans ces principes de conservation d’un sang des plus purs, sans que jamais le sang des moldus ne vienne le souiller.

Spoiler:

**PARCHEMINS** :

❝ aussi fort que la roche ❞

la noble et très ancienne maison des black

famille, devoir et honneur

La famille. Rien n'est plus important pour Amalya qui considère réellement sa maison comme l'un des piliers de sa vie. Un pilier qu'elle souhaiterait inébranlable. Tout d'abord il y a son frère. Tous deux sont très proches d'une certaine façon, bien qu'ils ne se le montrent pas forcément. Arès tient énormément à sa jeune sœur, elle est sans conteste l'une des personnes les plus importantes de sa vie, ainsi il la protège. Malgré son incapacité à concevoir, il ne l'a pas rejetée, jamais. Au contraire il fut un soutien silencieux, l'aidant à lever la tête et à ne point courber l'échine devant la honte, l'aidant à surmonter cette humiliation balancée à son visage. Déjà alors qu'elle était une enfant et lui un jeune adolescent, il la protégeait sans cesse, veillant sur sa petite sœur comme sur un trésor, mais cela d'un œil toujours discret, sans jamais l'avouer. La fierté plus forte que les mots. A l'inverse, Amalya soutient son frère dans tout ce qu'il entreprends, même si elle 'est pas d'accord, lui accordant une confiance absolue. Elle est également proche des deux enfants d'Arès, bien que cela soit moins fort qu'avec son frère. Ainsi elle est toujours présente pour écouter son jeune neveu, Rheagar. Celui-ci se sentant plutôt proche d'elle bien qu'il n'hésitera pas à la trahir en rejoignant le camp de Godric Gryffindor. Enfin, il y a le petite dernière, Mellony qu'Amalya considère comme la fille qu'elle n'a jamais eu. Depuis qu'elle est petite, la petite se voit tout apprendre par sa tante, qu'il s'agisse des bonnes manières où du maniement des armes.

l'épopée des élus et du roi maudit

(+) vite je tombe, comme un pantin sans fil.
Trop libre et trop fragile.

Silence. Une absence totale du moindre son régnait autour de moi, dans la grande salle d’armes de ma demeure où je m’étais isolée. Loin des regards. Loin des murmures. Loin de la honte que me rejetait au visage la flamme brillante dans les yeux des membres de la maison Snape. Une honte viscérale, totale qui embrasait leurs regards jusqu’à les rendre aussi menaçants que n’importe quel prédateur. Plus effrayant encore que le regard de braise du chien noir qui ornait le blason de ma propre maison. Silence apaisant, brisé de temps à autres par les sons faibles de mon souffle et celui, plus ténu encore, du sifflement des flèches suivi du bruit mat lorsqu’elles atteignaient la cible de paille et de bois. Je ne voyais rien, les yeux braqués vers ma cible alors que je sentais encore le goût amer des larmes salées versées en abondance. Humiliation. La veille, la nouvelle était tombée comme une pluie glacée. Les mots du guérisseur se répétant en un écho incessant dans ma tête. Encore et encore, comme si chaque lettre voulait se graver en lettres de feu dans mon esprit. « Lady Snape, je suis navrée mais il semble bien que vous n’êtes guère féconde. Jamais vous ne porterez d’enfant.» Lentement je bandai l’arc jusqu’à ce que l’empennage de la flèche ne vienne effleurer ma joue alors qu’en ce geste précis l’arme devenait le prolongement total de mon corps et de mon âme, la tension du bois, de la corde semblant en parfait écho avec celle qui enserrait mes entrailles. Rien d'autre n'avait d'importance en cet unique instant, seule comptait cette cible. « Jamais vous ne porterez d’enfant.» J’avais aussitôt sentit mon cœur s’emballer contre ma poitrine, atterrée. Jamais. Un mot. Deux syllabes. Six lettres. Flèches ardentes enfoncées dans mon âme, brulant mes espoirs et mes illusions ; La fierté d’une famille venait de se briser, soudainement, sans que je m’y attende vraiment. Un instant, fugace, éphémère de bonheur puis en un battement de cil : Désillusion. Longtemps, je restai ainsi, tendue, le souffle régulier. Les yeux fixés sur la cible qui se dressait devant moi tandis que lentement je relâchais les doigts, laissant le trait s’échapper à vive allure avant de se ficher dans la cible dans un bruit sourd. Jamais. Déjà, j’avais senti les regards acerbes de ma famille, et plus encore celui, teinté d’humiliation entremêlée de dégout, de mon époux, avant qu’il ne quitte la pièce sans un mot. Qu’adviendra-il ? Comment réagira ma propre maison en apprenant la nouvelle ? Tant que de questions sans réponses qui embrouillaient mes pensées et mon esprit, alourdissant mes sens de leur ombre pesante. Avec un soupir, j’attirais à nouveau la corde vers ma joue, prête à tirer une autre flèche, fruit de mes tensions et de mes doutes. « Lady Black ? » Je détendis la corde, me tournant vers l’un des serviteurs qui venait de troubler le calme dans lequel je m'étais enfermée. Black. Voici un temps que l’on ne m’avait pas appelé par ce nom qui m’avait vu naitre, plusieurs mois que j’arborais le nom de Snape, je me mordis la lèvre, nerveuse. « Oui ? » murmurais-je d'une voie à peine audible, tremblante. « Lord Snape vous fait quérir dans ses appartements. » Snape. Black. Deux noms séparés, comme déchirés soudainement alors qu’ils ne formaient qu’un à peine quelque jours plus tôt. Alors que je me rendais d'un pas lent vers les appartements de mon époux, je savais déjà à quoi m’attendre. Aucun seigneur ne voudrait d'une femme inapte à concevoir une lignée, aucun et je me doutais fort bien que mon époux n'y ferait guère exeption. La fin d’une union offrant une nouvelle voie à mon avenir, une voie frappée d’anathème et d’humiliation. Rejetée.

(+) les mots ne sèchent pas les pleurs.

Il y avait ces regards. Insistants. Déchirants. Dans leurs yeux transparents ou je lisais la honte infligée par le rejet de Lord Snape. Comme une ombre qui planait au dessus de moi, sombre boulet enchainé à ma cheville. Alors que la demeure Black recevait les plus éminents représentants de ses vassaux, je voyais bien l'expression de pitié et de dégout entremêlée qui se lisait sur les visages des nobles présents. Autrefois, les hommes m'admiraient, ils n'auraient pas hésité une seconde avant de demander ma main, alliant ainsi leur nom à la maison Black et à sa Dame. Bien des hommes l'avaient fait, autrefois.Et maintenant ? Ils m'observaient comme une indésirable. Une tâche dans l'immaculé parfait de leur monde. Une femme inapte à donner la vie, mission ancestrale que d'offrir à une famille l'héritier qui offrirait de nouvelles vies à un nom, n'était pour eux que vermine, sans aucun intérêt. Pourtant, je me devais de rester froide, fière. Assise à la droite de mon frère, tentant de calquer l'expression de majestueuse fierté écrasante que lui même affichait. Malgré cela, alors qu'Arès dominait l'assemblée de son regard de glace et de son port noble et fier, j'avais l'impression de n'être qu'une petite fille perdue, faible et apeurée tandis que leurs yeux et leurs murmures me transperçaient comme une volée de flèches brulantes, brisant mes défenses comme si elles n'avaient été que papier. Le souvenir d'une ancienne histoire me prit soudain. Salazar. L'amertume d'un union non partagée. D'un côté l'amour, de l'autre le simple plaisir charnel. Dualité d'envies, dualité de voies qui jamais ne pourront plus se croiser. Une histoire au goût de regret, que jamais je crois, je ne pourrais oublier. A nouveau, ce même sentiment de honte et de désillusion. L'impression de voir se briser mes rêves et mes espoirs. Un instant, je cru défaillir. Je sentais le tremblement de mes mains et les battement frénétiques de mon cœur contre ma poitrine tandis que la pièce me semblait étouffante. Je ne les supportais plus. Ces regards. Ces murmures. Le poids d'un anathème que mes épaules ne pouvaient supporter. C'était trop. Tout à coup, Arès se pencha vers moi pour de me murmurer quelques mots à l'oreille. « Ferme ton cœur, Amalya, et arbore donc ta fierté. » Il marqua une pause, prenant le temps de lancer un bref regard vers deux des familles vassales qui discutaient avec animation d'une potentielle union entre leurs héritiers. « Tu es une Black, ne laisse pas les commérages t'atteindre, tu vaux plus que cela. » conclut-il avant de se concentrer à nouveau vers la discussion de ses vassaux. Margé la dureté du ton de sa voix, j'avais vu son regard qui brillait de la lueur que je connaissais par cœur lorsqu'il posait les yeux sur moi. Fruit de l'affection profonde qui nous unissait, entremêlée de la douceur que je ne percevais qu'en de rares instants, avant que la froideur et la détermination ne vienne y reprendre leur place. Sentiments silencieux et inavoués. Aussitôt, je pris le temps de souffler, évacuant mes sombres pensées pour arborer le masque de froideur, symbole de la fierté de ma lignée. De la fierté de mon frère. « Merci Arès. » chuchotais-je, tandis que je sentais ma respiration saccadée se calmer, comme si ses mots avaient été le baume qui calmait mes blessures, dumoins pour cet instant où la bannière au chien noire devait arborer la fierté de ses seigneurs. Il acquiesça d'un bref signe de tête. Pas besoin de plus de mots. Nous nous comprenions.

(+) pour parler de la guerre, il n'y a que les larmes.

« En cette heure je vous annonce mon mariage prochain avec Lady Ashara Slytherin, Dame des Monts Brumeux. Bientôt, le chien s'alliera au serpent, liant sous la même bannière nos armées pour la guerre qui se prépare. » Les mots d'Arès se répétèrent dans mon esprit. La guerre ? Ainsi c'était donc cela, les sombres discussions que depuis quelques jours, mon frère entretenait avec Salazar Slytherin ? Une alliance secrète en vue d'allier nos maisons ? Je me mordis la lèvre sans répondre tout de suite, surprise et interloquée alors que je fixais mon frère d'un regard qui devait être transparent à ses yeux car il repris la parole. « Je crois voir ton désaccord, Amalya. Mais le choix que je fais ici est le bon, je le sais. Par cette guerre, je pourrais accéder au trône. » Son ton était dur comme à l'accoutumée, mais c'était une froide détermination qui se détachait de chacun de ses mots. Une ambition sans fin. « Non. Je n'approuve pas cette guerre, Arès, car chaque guerre entraine la mort, indéniablement. Cela en vaut-il la peine ? » Il ne répondit pas immédiatement, faisant quelques pas dans la pièce pour se poser à la fenêtre ou l'ont voyait au loin l'horizon vallonné des plaines herbeuses de la vallée aux loups. A nos cotés, Rheagar avait gardé le silence, seul les phalanges blanchies de ses poings serrés trahissait les sentiments qui l'animaient. « Oui. Il y aura des morts, du sang et des larmes. » Lentement, il se tourna vers moi, ses yeux de glace retenant mon regard comme des chaines d'acier. « Mais tout cela n'est rien comparé à l'opportunité que ce conflit présente. Rien. » J'aquiescai en silence. « Bien. Malgré mon ressentiment, tu auras mon soutien. Quoi qu'il advienne. » murmurai-je en m'inclinant légèrement devant mon seigneur et frère. Si l'ombre d'un sourire effleura ses lèvres, il n'en paru rien. Aussitôt je me retirai en silence vers mes appartements, traversant les couloirs sombres de la demeure que de temps à autres les rayons du soleil éclairait de par les hautes fenêtres de bois massif. Le soleil d'hiver. J’avais toujours aimé sa lumière éclatante qui éclairait les plaines de la Vallée des Loups, sa douce chaleur sur mon visage et son image troublée dans les lacs d’eau opale qui s’étendaient sur nos terres du sud telles des perles brillantes. Sensation fugaces, éphémères. Désormais à peine plus que de brèves images troublées, teintées d’un goût d'un autrefois révolu. Souvenirs teintés de rires entrelacés ; enfance innocente, loin des larmes et de la mort, du sang et des cris. Bientôt, l'Angleterre s'embrasera au son des épées s'entrechoqueront, des flèches qui siffleront et les sortilèges hurlés. Je me stoppais au milieu du corridor, mes yeux braqués vers la fenêtre. Si je ne les voyais pas, je devinais derrière les tours effilées les ruelles grouillantes de monde, entre les cris des camelots cherchant à attirer les clients vers leurs étalages odorants et le claquement régulier des sabots sur le pavé. Élan de vie des plus anodin, une vie ô combien éloignée de la mienne qui, petite me fascinait. Combien de fois n'étais je-pas sortie des murs de la demeure Black pour explorer les rues de Bristol, mes yeux écarquillées observant la moindre pierre, le moindre sourire autour de moi tandis que j'offrais des bouts de pains aux mendiants qui me tendaient leurs mains chétives en tremblant. Je ne rentrais que plusieurs heures plus tard, bien souvent après qu'Arès n'est fouillé les rues à ma recherche, me rabrouant encore et toujours malgré la flamme amusée dans ses yeux de saphir. Et maintenant ? Qu'adviendra-il des rires et des jeux enfantins ? Que restera-il de ces vies entremêlées ? L’innocence sera-elle encore présente dans les cœurs ? Encore des questions qui embrouillaient mes idées, mais une seule réponse possible. Non. Comme après le passage meurtrier d'un feu, rien ne peut subsister lorsque les armes sont levées. Aucune joie. Aucune compassion. Rien que la noirceur de cœurs brulés par la guerre, et les larmes des femmes voyant leurs hommes partir au front. Je poussai un soupir avant de continuer mon chemin. Malgré tout, je soutiendrais mon frère, jusqu'à la fin et qu'elle qu'en soit l'issue de cette guerre. Quoi qu'il advienne.

(c) crédits ravendor & game of thrones tumblr

**PARCHEMINS** :

La belle Amalya :bril:

Ophélie, tu as choisis un excellent pv,moi je te le dis et ton début de fiche, ça donne du lourd :god:

Bonne chance pour la suite I love you

**PARCHEMINS** :

Godric Gryffindor a écrit:: La belle Amalya
Ophélie, tu as choisis un excellent pv,moi je te le dis et ton début de fiche, ça donne du lourd
Bonne chance pour la suite

J'ai rien d'autre à ajouter à part bienvenue :bril:

**PARCHEMINS** :

merciiiii. :bril:

c'est possible de me la réserver du coup ? I love you

**PARCHEMINS** :

OPHEEEEEEEEEEEEEE. I love you

En Black, en plus. Quelle classe. Bienvenue. :god:

Je te la réserve sur-le-champ. :smile:

**PARCHEMINS** :

Comme la première partie est complète : oui I love you

**PARCHEMINS** :

merciiiii les amis. :sushi:

(paye ta rime !)

**PARCHEMINS** :

Le choix de dingue :anw:

ton début de fiche est déjà excellent Ophé, hâte d'en savoir plus I love you

**PARCHEMINS** :

merciiii ma belle. :bril:

Tantine

Il faudra qu'on redéfinisse bien notre lien I love you

**PARCHEMINS** :

neveuuuuuuu. :bril:

wi pas de soucis ! I love you

**PARCHEMINS** :

félicitations !

tu viens d'être validé par un membre du staff

Félicitations Amalya ! Tu viens d'être validé par un membre de l'équipe administrative. Tu es désormais libre de parcourir et de poster sur tout le forum. Cependant, il reste encore quelques détails à régler. Tu peux déjà aller réserver ton avatar à cet endroit afin que les nouveaux membres et peut-être futurs membres ne s'inscrivent pas avec ce même avatar. De plus, l'avatar lui sera donc laissé puisque c'est le membre qui est en faute. N'oublie donc surtout pas de le recenser. Tout comme il est nécessaire de recenser ton avatar, il faut le faire aussi pour les différents registres du forum qui se trouvent à cet endroit (patronus, métiers, postes à poudlard, particularités magiques). Si tu as déjà une idée de scénario, important pour l'histoire de ton personnage, tu peux tout à fait aller l'élaborer ici. Respecte bien le modèle de scénario qui est obligatoire et mis en libre service tout en réservant l'avatar du scénario une fois terminé. Si tu dois t'absenter, n'hésite pas à prévenir l'équipe administrative. Sans absence, ton compte sera supprimé sans préavis et ton avatar sera donc libre. Quelqu'un pourrait alors le prendre et ce serait fortement embêtant pour toi. C'est par ici que ça se passe. Il est aussi important de consulter de temps en temps les annonces faites par l'équipe administrative, bien sûr tu seras prévenu par message privé mais il serait bien d'y aller tout de même volontairement. Avant de finir, tu peux évidemment aller faire ta fiche de lien et remplir ton journal intime, il suffit de cliquer ici et ici. Pour finir, n'hésite pas à aller flooder et parler avec les autres membres sur la chatbox I love you

J'aime Amalya I love you

**PARCHEMINS** :

Merci ma belle. I love you

» (+) fear of a name increases fear for the thing itself.
» + set fire to the rain (salazar&amalya)
» PERCEVAL ; I love the name of honor, more than I fear death

amalya ∞ fear of a name increases fear for the thing itself.

amalya ∞ fear of a name increases fear for the thing itself.

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